Chaque personne est a meme de décider de la meilleur voie.
Il y a des gens qui décident pour le bien du peuple et ce n’est pas le peuple, pris individuellement.
Toute personne a le droit d’exprimer son avis en démocratie.
Et cela veut dire biensur de la direction a prendre en commun, CETTE NOTION SUPRÊME QUI DÉFINIT LA SOCIÉTÉ , car oui cette chose est une décision HUMAINE, tout a fait humaine : ELLE NE SORT PAS d’UN ORDINATEUR ou d’une feuille excel.
Ne rien faire n’est pas ne rien faire.
L’absence d’avis est un avis.
Se dire accepter la direction de la société c’est aussi un choix ou une acceptation non dite de la direction de la société, et en tant que tel ca équivaut à un autre choix qui irait a l’encontre du conformisme ou de ce rationnalisme faussement intellectuel.
( peut etre que vous placez l’état actuel du monde comme force de vérité, et donc comme seul réalité dans l’absolut, il n’empeche qu’on à le droit de choisir d’autre voie, ET cela ne peut se faire que par l’intermédiaire de l’individu, oui l’individu : l’atome. Pas la masse qui refuse pour beaucoup de penser.
Penser , liberté de penser ?
Et si votre monde est ou devenait une petite URSS ? Union des républiques « socialiste » soviétiques. (socialiste seulement dans le capitalisme d’état : la russie n’a pas été grand chose de plus ). Avec tout ce que ca implique d’autre , en sous entendu...
Et si le new deal écologiste valait tous les autres new deal du passé ?
eminencia.free.fr/wiki/doku.php ?id=wiki:extrait-d-oeuvres:contre_les_propagandes_et_ideologies:valeurs_vernaculaires_par_ivan_illich
. C’est seulement par la transition du fossile au soleil que les
externalités de production peuvent être suffisamment réduites pour que
les ressources maintenant dépensées à fabriquer des déchêts et à payer
des éboueurs pour les supprimer peuvent être métamorphosées en
bénéfices. Je suis d’accord. S’il doit y avoir de la croissance, alors
Lovins a raison ; et les investissements sont plus solides avec des
éoliennes qu’avec des derricks pétroliers. Pour la droite et la gauche
traditionnelles, pour les démocrates gestionnaires ou les autoritaires
socialistes, le process et l’énergie doux deviennent le raisonnement
nécessaire pour étendre leur bureaucratie et satisfaire des “besoins”
croissants par la production standardisée de marchandises et de
services.
L’Organisation Mondiale de la Santé met maintenant l’accent sur la
prévention et l’éducation aux soin personnels. C’est seulement ainsi
que les niveaux de santé de la population peuvent être relevés, alors
que les thérapies coûteuses – en général d’efficacité non prouvée, bien
que restant le travail principal des médecins – peuvent être
abandonnées. L’utopie égalitaire libérale du 18e siècle, reprise comme
idéal de la société industrielle par les socialistes du 19ème, ne
semble maintenant réalisable que sur le chemin du doux et de
l’auto-assistance. Sur ce point, droite et gauche convergent. Wolfgang
Harich, un communiste de grande culture ;, affiné et blindé dans ses
convictions par deux périodes de huit ans de détention – une fois sous
Hitler et une fois sous Ulbricht – est le porte-parole d’Europe de
l’Est pour la voie douce. Mais tandis que pour Lovins la transition
vers la production décentralisée dépend du marché, pour Harich la
nécessité de cette transition est un argument en faveur de l’écologie
Staliniste. Pour la droite et la gauche, les démocrates ou les
partisans de l’autorité, le processus et l’énergie doux deviennent les
moyens nécessaires pour satisfaire des “besoins” croissants par la
production standardisée de marchandises et de services.
1980