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Commentaire de taktak

sur Un référendum pour rien


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taktak 5 octobre 2009 08:08

En 2007 on nous a bien laissé « le choix » entre Nicolas et Pimprenelle, c’est à dire entre le oui au capitalisme libre et non faussé, dirigé sans consultation des peuples par l’Europe, et le oui au capitalisme non faussé et libre, dirigé sans consultation des peuples par l’Europe.

Si ce n’est pas Nicolas, ce sera son frère. Nos médias qui entonnent si bien en choeur la propagande sur la Grande Europe, sur le Grand nicolas, sur la crise qui est finie et pas si grave, sauront bien nous faire voter, pour ne pas dire nous faire bien voter.

Quant aux syndicats, sous pretexte d’indépendance politique et d’absence de réfléxions idéologique, ils suivent voire même précède la doxa libérale et européiste :

Qu’à obtenu la confédération européenne des syndicats ? la libéralisation des services publics, la déréglementation et dérégulation des marchés et du code du travail. Beau bilan pour un syndicat aux ordres d’une social démocratie, si peu sociale et si peu démocrate qu’elle est autorisée par les barons capitaliste à dirigé le FMI, fétant ainsi son bonheur dans match de ne plus devoir aller à trifouilli les oies.

A travers cette négation de la souveraineté populaire, condition essentielle du fonctionnement démocratique, qui se fait aussi sous couvert de négation des souveraineté nationale (ainsi que des conditions de l’expression des souveraineté nationale : langue, spécificité locale, culture etc....) on peut voir l’affrontement entre des patrons délocalisé à un niveau européens, et des peuples inconscient de l’affrontement, qui essayent de se défendre à un niveau national dépossédé de tout pouvoir.

C’est le triomphe de l’empire, l’empire du fric, ou plutot de ceux qui en ont


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