Non seulement la démission de Frédéric Mitterrand est indispensable, mais pour ma part, j’espère qu’une association de défense de l’enfance portera plainte afin qu’il y ait enquête et jugement.
Quant au « courage » des épanchements immondes de ce prétentieux qui ne fut jamais rien que le nom d’un autre, quant à la « vérité » de ces pages où la laideur de son âme transparaît à chaque ligne, où les scrupules s’évanouissent en un instant devant la pure auto-satisfaction, où il continue encore de « faire la morale » alors qu’il profite de l’indigence et de la misère en beau salaud qu’il est, la colère me gagne !
Je suis parfaitement d’accord avec Linus et Imhotep.
Et à tous ceux qui expriment de la compassion, voire plus (on le devine), pour un Frédéric Mitterrand, en oubliant si commodément les « garçons » anonymes, ces « éphèbes » de l’autre bout du monde, qui ont le malheur de n’être ni neveu d’un ancien Président, ni Ministre de la République, ni fortuné, ni membre des cercles à Paris où l’on boit champagne en dégoisant de rire, j’affirme qu’ils devraient mieux choisir les victimes et les vérités qu’ils défendent.
Les victimes, ce sont ces enfants !
Aucun humaniste ne peut tolérer qu’on leur fasse ainsi deux fois injures : la première lorsque Frédéric Mitterrand ferme les yeux sur leur âge et bien que justement, ce soit cet âge qui « l’excite » ; la seconde quand il se répand dans un livre, comme un chasseur des safaris anglais à l’âge victorien, pour la galerie et non content, qu’il se croit encore assez digne pour représenter officiellement la culture de ce pays. Notre pays.
Cet homme est d’une laideur insondable.