• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de fonzibrain

sur Cyber Warfare / Guerre électronique


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

W.Best fonzibrain 2 novembre 2009 15:14

hello,

ca va frapper dans peu de temps

U.S. Special Ops contracts network of psychological-warfare “influence websites” supporting the Global War On Terror
Steve Watson
Infowars.net
Thursday, Sept 17, 2009
U.S. Special Operations Command (SOCOM) has finalised a $10m agreement with a large globalist defense contractor to operate a network of psychological operations websites, with Britain and France named as “targeted regions”.
We first reported on the Trans-Regional Web Initiative (TRWI) last year.
Now the operation, which will essentially issue military propaganda disguised as independent media reports throughout the world, has been implemented with General Dynamics running the initiative for the first year.
The company ranks No. 4 on Washington Technology’s 2009 Top 100 list of the largest federal government prime contractors and is the fifth largest defense contractor in the world.
SOCOM, which operates the U.S. Army’s only full-time psywar unit, the 4th Airborne Psychological Operations Group, issued specifications (PDF) on the operation last year :
Special Operations Command requires the capability to posture for rapid, on-order global dissemination of web-based influence products and tools in support of strategic and long-term U.S. Government goals…
[Contractors will] develop, design, construct, operate, and maintain a series of synchronized influence websites supporting [Global War On Terror] requirements … Government estimates a minimum of two and no more than twelve websites.
The specs also outline the need for “indigenous content stringers and editors” within “targeted regions” disseminating round the clock “original features, news, sports, entertainment, economics, politics, cultural reports, business, and similar items of interest to targeted readers”.

A previous SOCOM notice on the project noted that “All contractor personnel shall hold a U.S. SECRET security clearance and be able to obtain a U.S. TOP SECRET clearance.” meaning that any “news” reporters and editors employed will have access to “both classified and unclassified government computer systems facilities.”
Their role, according to SOCOM is to “influence foreign audiences per Government-approved Concepts of Operations (CONOPs), conceptual approaches and previously approved prototypes.”
The so called “targeted” readers and regions are listed as Arabic, Urdu, Farsi, Russian and Malay, but also French, and “English (British dialect and spelling)”.

http://fonzibrain.wordpress.com/2009/09/18/le-pentagone-va-venir-destabiliser-le-net-en-france/

et 

“Cette attaque devait accélérer la chute de Saddam Hussein sans faire de victime. Les Etats-Unis y ont pourtant renoncé, préférant une offensive militaire conventionnelle. En 2003, avant même de déclencher l’invasion de l’Irak, le Pentagone avait prévu de s’en prendre aux finances du régime irakien, pour geler les réserves du dictateur et lui retirer tout moyen de payer ses troupes et d’investir dans de l’armement. « Nous savions que nous avions les outils pour le faire », explique aujourd’hui un militaire à l’International Herald Tribune.

L’administration Bush n’a jamais donné son feu vert. La Maison-Blanche redoutait les « dommages collatéraux » d’une intrusion dans le système informatique de plusieurs banques, et les risques de perturbation au Moyen-Orient, en Europe et aux Etats-Unis. Seule une offensive plus classique contre les réseaux de communications a donc été lancée, provoquant non seulement des coupures de téléphones en Irak, mais aussi dans les pays limitrophes. Une expérience similaire, menée dans les années 1990 en Serbie par les Etats-Unis, avait entraîné une panne d’un système de communication satellitaire.

Selon des experts, l’enchevêtrement des réseaux rend en effet cette guerre virtuelle particulièrement difficile à contrôler. « Nous sommes très inquiets des effets de bord de certains types d’opérations informatiques », affirme un autre militaire cité par le quotidien. Certains craignent des répercussions en chaîne sur l’infrastructure civile d’un pays, par exemple si le réseau d’un hôpital est partagé avec celui d’une administration ciblé par une attaque. D’autres estiment que ces précautions sont au contraire démesurées, et jugent que les conséquences sont souvent bien moins importantes qu’en cas d’offensive militaire classique.

Un responsable de la cyber-sécurité à la Maison-Blanche

Malgré ces réserves, la possibilité d’une attaque sur les réseaux, avortée en 2003, reste d’actualité. Pour réfléchir à cette guerre d’un nouveau genre, Barack Obama doit nommer pour la première fois dans les prochaines semaines un responsable de la cyber-sécurité à la Maison-Blanche. Il devra non seulement travailler sur les stratégies offensives, mais s’assurer aussi de la solidité du système de défense du pays, alors que les Etats-Unis sont eux-mêmes régulièrement victimes d’attaques, notamment en provenance de Chine et de Russie.”

article le figaro

http://fonzibrain.wordpress.com/2009/08/21/quand-les-usa-planifiaient-une-cyber-guerre-en-irakou-comment-ils-peuvent-faire-planter-tout-le-systeme-informatique-mondial/

Il est très important de savoir que le cyber Air Force Cyber Command passera au rang de « Commandement majeur » de l’US Air Force quand cette structure sera complètement opérationnelle d’ici octobre 2009

Onva rire dans les prochains mois


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès