Il y a une constante dans les réactions aux articles de P. Villach, qui consiste en un refus de débat sur les thèmes proposés. Refus de débat déguisé en « trollage ».
Comme sur les articles d’autres auteurs comme morice, ce pseudo-trollage récurent est-il la preuve de l’incapacité de certains posteurs de débattre sur des sujets sensibles ? Est-ce plutôt le résultats d’a priori sur les auteurs, sur leurs style (pas, trop, pas assez) littéraire, sur leurs prises de positions ?
La question est posée.
Mis à part le cas Trolléon, qui déclare se battre contre « l’escroquerie intellectuelle », et assume cette démarche au point d’adapter son pseudo pour l’illustrer, les autres « escrocs du débat », consciemment ou non, continuent inlassablement de troller en équipe. On observe qu’ils s’auto-congratulent de leur « rebellitude » comme des ados qui croient qu’impertinent signifie pertinent, sans se rendre compte du ridicule pourtant évident de leur comportement, visible par les autres lecteurs qu’ils semblent oublier.
L’approche de P.Villach qui défini des types de leurres en communication est pourtant valable, et nous en avons des exemples tous les jours dans les JT, par la hiérachie faussée des informations, les réponses qui deviennent des déclarations, et l’ommission d’informations. Tout cela est dénoncé régulièrement sur Avox et ailleurs, mais quand P. Villach en parle et l’illustre, on (les castors jumiors de la trollerie) lui reproche d’expliquer son approche en l’attaquant personnellement, plutôt que d’essayer d’en discuter.
Je me demande d’où vient ce genre de comportement.