Al-batar tous cela a été manigancé
« Les antisémites seront nos amis les plus dévoués et
les pays antisémites nos alliés ».(lEtat des Juifs ,p287) -
"Nous
devons exproprier avec délicatesse...Nous essaierons de pousser la
population sans le sou de l’autre côté de la frontière en lui donnant
des emplois dans les pays de transit, tout en lui refusant le travail
dans notre pays...Il faudra procéder à l’expropriation ainsi qu’au
déplacement des pauvres de façons discrète et circonspecte" (journal de
notes ,1895.) -
par les jabotinsky , Herzl et autres diables...
le probleme se trouve a la racine la création d’Israel et les exactions des pionners israeliens jusqu’en 1920 restent en memoire comme des agressions injustifiées
sincerement j’ai vraiment peur pour l’avenir...
tu connais Marek Edelman le heros juif du ghetto de Varsovie (un rgand bonhomme le type) : lui c’est le juste parmi les justes par definition
Ce type c’est du lourd !!!
Un héros du ghetto de Varsovie parmi les deux cents combattants
juifs qui se révoltèrent contre la barbarie nazie. Sa gloire, celle
d’un homme, d’un polonais désireux de vivre debout et de rester en vie
en se comportant en homme libre.
Un héros, un véritable résistant à l’oppresseur comme aux idéologies collectives par ces refus successifs :
- Refusant l’idéologie religieuse du peuple élu « Chez moi, il n’y a de place ni pour un peuple élu ni pour une Terre promise.”
- Refusant le suicide collectif quand la révolte fut étouffée : pour
Marek Edelman, le suicide collectif du 18 rue Mila n’est qu’un accès
d’“hystérie collective”. Il n’a pas de mots assez durs contre ceux
qu’il appelle les “professionnels de la mémoire” et qu’il accuse de
glorifier une “éthique trop israélienne”.
- Refusant la gloire des combattants “ceux qui ne se sont pas
soulevés sont tout autant des héros que ceux qui ont pris les armes.
Celui qui a choisi de ne pas laisser sa mère monter seule dans les
convois de la mort a fait preuve d’autant d’héroïsme que celui qui est
mort les armes à la main.”
Ces refus sont également liés à la création de l’Etat d’Israël en
terre Palestine lui qui militait pour d’autres objectifs, et là il y a
me semble-t-il une fracture, son message devient moins consensuel, plus
polémique : “Il eût mieux valu créer un Etat juif en Bavière !”
Exactement ce qu’a récemment proposé le président de l’Iran, Mahmoud
Ahmadinejad… ! “Il a raison”, répond-il en s’esclaffant, “le climat y
est excellent !”
Polémique également cette déclaration si peu conforme à l’histoire
et aux intérêts du peuple juif en épousant les thèses antisionistes :
“Si Israël a été créé, c’est grâce à un accord passé entre la
Grande-Bretagne, les Etats-Unis et l’URSS. Pas pour expier les 6
millions de Juifs assassinés en Europe, mais pour se partager des
comptoirs au Moyen-Orient.”
Malek Edelman m’apparaît comme un authentique héros patriotique
Polonais, cette Pologne qu’il aimait profondément bien au-delà semble
t-il de son appartenance communautaire.
"Pour vous Israéliens, me dit-il, la guerre de Six Jours de 1967a été
l’événement le plus important de l’histoire juive contemporaine. Vous
pouvez vous appuyer sur un Etat, des chars, et un puissant allié
américain. Nous, nous n’étions que 200 jeunes avec six revolvers pour
tout armement, mais nous avions la supériorité morale".Marek edelman Juste parmi les justes
Dénonçant les manipulateurs de l’histoire du génocide des juifs,
il les qualifie de « professionnels de la mémoire » ayant une « éthique
trop israélienne« . Car il n’a pas oublié la lâcheté des sionistes
durant la seconde guerre mondiale. « Le Mossad savait aussi ce qui se
passait ici. Ses agents se sont pourtant contentés d’évacuer les gens
disposant d’argent, et encore, jamais pendant la guerre et uniquement
vers la Palestine. Le fondement de l’idéologie de Ben Gourion et des
siens, c’était la rupture avec la diaspora [juive]. Il en était arrivé
à refuser de s’exprimer dans sa langue maternelle, le yiddish [langue
juive d’Europe de l’Est], la langue des 11 millions de Juifs
d’Europe et d’Amérique. » Ben Gourion avait en effet déclaré le 8
décembre 1942 : « Le désastre qu’affronte le judaïsme européen n’est
pas mon affaire ». Evidemment Marek Edelman ne ménage pas le fondateur
de l’entité coloniale sioniste : « Il n’aurait évidemment pas pu sauver
des millions d’entre nous, mais certainement des milliers. Il n’a pas
bougé. Ici, personne n’aimait Ben Gourion, pas même les plus fervents
sionistes.”
-
Interrogé par la journaliste israélienne sur les premières actions
« terroristes » de la Résistance juive - dirigées contre "la police juive
du ghetto, dont les membres avaient multplié les exactions« : »c’étaient
des traîtres, dit-il, sèchement. Ils n’étaient pas obligés de
collaborer avec les nazis, mais ils pensaient que c’était une bonne
manière de gagner de l’argent et de sauver leur peau« .
- »N’est-il pas logique que des Juifs fassent tout pour survivre ?, demande la voyageuse ?
- " Ça, c’est votre philosophie d’Israélienne, celle qui consiste à
penser qu’on peut tuer vingt Arabes pourvu qu’un Juif reste en vie.
Chez moi, il n’y a de place ni pour un peuple élu, ni pour une "Terre
Promise".
si ca t’interrese
http://lille.indymedia.org/article17870.html
http://imbongi.20six.fr/imbongi/art/1202207