Commentaire de Fergus
sur De la nécessité quelquefois impérieuse du coup de poing dans la gueule
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Dans le premier cas, on intervient évidemment quitte à se prendre un pain. Encore que ce genre de lâche a tendance à fuir dès qu’une résistance se manifeste.
Dans le deuxième, inutile de recourir à la violence, il suffit de balancer à voix haute une vanne sans même désigner le coupable pour qu’il arrête instantément.
Derniers commentaires
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22/02 09:58 - Voris
Georges Yang, vous êtes excessif comme gars. Si j’approuve parfaitement votre réaction (...)
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21/02 23:15 - Rough
Bravo Georges, Superbe article !....Comme tu dis ces sauvageons de Sarcelles ou de (...)
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21/02 23:05 - ChatquiChouine
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21/02 19:45 - johnford
Biensur qu’il faut cogner, il faut rendre leur virilité aux hommes. Et quand une personne (...)
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21/02 13:55 - Iren-Nao
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21/02 08:06 - Lucien Denfer
Je suis plutôt d’accord avec l’auteur, la violence ne sert à rien, pas plus que de (...)
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