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Commentaire de Le péripate

sur Le système privé de pension chilien sort indemne de la crise


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Le péripate Le péripate 31 mars 2010 21:06

Bon, à part une tentative d’épicier sur les taux avec ou sans inflation, je n’ai rien lu de sérieux.

D’épicier, parce que, Lucilio, à défendre un libéralisme utilitariste, on s’expose forcément aux calculs corporatistes, communautaires, enfin tous les inconvénients des démocraties sans principes.

Ce n’est pas que l’utilité ne doive pas être pesée, mais c’est plutôt le travail des historiens. La question est : est-ce juste ?

On peut, par exemple, pour découvrir le juste, se demander quel serait le succès d’un régime de répartition qui ne serait pas obligatoire. Le marché qui vous serait présenté serait en peu de mot celui-ci : vous payez tout de suite et vous comptez que d’autres viennent payer pour vous l’heure venue. Sans doute il n’y aurait pas queue. C’est d’ailleurs la stricte réalité, le salariat n’étant peut-être qu’un épisode de l’histoire.

On peut aussi, sous un autre angle, aborder le conformisme social que crée un système de retraite par répartition. À cet égard il n’est sans doute pas innocent que la première mise en place de la répartition date de 1941, promu par l’extrême-gauche collaborationniste du gouvernement Pétain. Il y aurait beaucoup à dire sur ce thème, résumé ainsi de manière un peu provocante :

La retraite par répartition est un chemin vers le fascisme.

Pour tous mes « amis »d’Avox.

 smiley


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