Ce à quoi il faut porter attention, c’est le jeu des mots et l’agenda
que se propose l’élite mondiale. Il y a souvent une grande différence
entre ce que l’on interprète lorsqu’on entend des « buzz words » comme
le « développement durable », « l’interdépendance », ou de « gouvernance
mondiale ».
Nous sommes sur le seuil d’un profond changement du système dans
lequel on vit, provoqué par ces ingénieurs sociaux. Un totalitarisme
scientifique de type communiste (dans le sens où plus rien n’est possédé
par des individus, mais par les gouvernements et institutions
mondiales) est tranquillement mis en place. Les ressources seront
rationnées et chacun aura un quota contrôlé sur tous les produits de
consommation et biens de base, déterminés par une classe non-élue de
dirigeants, sur lesquels nous auront aucun pouvoir.
Pour y arriver, des crises sont nécessaires, voir des guerres et des conflits déstabilisants. Voilà où nous sommes en ce moment.
Pour comprendre cet agenda élitiste et totalitaire, nous devons
regarder à leurs propres documents. Pas besoin de théoriser des
complots. Tout est disponible, noir sur blanc, dans ces documents
officiels. Par contre, le langage orwellien doit être décodé et compris.
Derrière le beau langage de liberté et de démocratie, nous bombardons
et occupons militairement l’Irak et l’Afghanistan. Sous le beau couvert
de l’environnement et du développement durable, se cache une toute autre
réalité qui nous échappe, les vrais objectifs de cette élite mondiale.
Cela fait des décennies qu’ils travaillent à nous vendre cette
prochaine ère totalitaire, cette gouvernance mondiale. Je n’ai rien
contre le fait que les nations et les Peuples se rapprochent au sein de
rencontres internationales, mais ce qu’on nous propose est tout autre.
Il s’agit d’une forme de gouvernement anti-démocratique, de nature
totalitaire qui contrôlera la distribution des richesses naturelles et
qui règlementera nos vie au quart de tour en nous dictant comment vivre.
Peu importe la route ou les options proposées, elles mènent toutes à
Rome… c-à-d au même objectif : concentration et consolidation du pouvoir
entre les mains de quelques individus ou groupes hyper riches et
puissants.
Les autres parties de cette série vont apporter encore plus de
lumière sur tout ce dossier et documenteront encore davantage ce que
j’avance ici. Il ne s’agit pas d’un délire de conspirationniste,
malheureusement.
Voici en attendant un autre exemple de cette prise de contrôle de nos
systèmes par cette élite mondiale, à travers des canaux bien connus :
ICLEI : Invasive UN Treaty in 600 American Cities
There are over 600 US cities that are members of ICLEI, the
International Council for Local Environmental Initiatives, now known as
Local Governments for Sustainability. ICLEI institutes the UN Convention
on Biological Diversity treaty that was withdrawn from a vote on the
Senate floor in 1994, so the treaty, designed for UN control, is being
implemented in cities.
Here’s the description of the program from ICLEI’s own website :
International Goals
Our programs, and projects promote participatory, long-term,
strategic planning process that address local sustainability while
protecting global common goods. This approach links local action to
internationally agreed-upon goals and targets such as :
Agenda 21,
the Rio Conventions :
The UN Framework Convention on Climate Change,
The UN Convention on Biological Diversity,