Pierre,
Sarkozy, je l’ai souvent appelé un « cas à strophes ». Vous faites les liaisons entre les mots comme vous le désirez.
Comme je le disais dans mon dernier article.
"il pourrait rester une
énigme pour un observateur étranger. ... une année d’euphories... les suivantes un
goût amer et de déceptions. Recherchait-on une alternative crédible
sur le long terme du style de De Gaulle, souvent reprise comme
référence du passé ?«
Énigme d’élections ?
Sarkozy n’a jamais compris ce qu’était un manager. Un chef d’équipe qui délègue. C’est son image qu’il soigne. Comme les people, image bonne ou mauvaise, cela vaut mieux que l’ombre.
Que le premier ministre, plus discret, ait plus de confiance, me donne confiance dans les Français.
Retraites, emplois, c’est un problème qui dépasse les frontières, mais c’est en France qu’on le ressent le plus mal, vu la référence indélébile aux Droits de l’Homme.
Mégalomanie au niveau du Président seul ?
Aux States, on avait des tee-shirt avec la mention »Proud to be american".
En France, je ne sais pas. Je vais y regarder de plus prêt prochainement.