Bonjour,
« Il ne reste que 4% pour la réalisation de toutes les bonnes intentions dont le texte est pavé, » Exactement comme les prospectus de pubs qui affichent en gros trois produits phares avec des prix planchers, et qui ne sont en fait que trois palettes vides à l’autre bout du magasin,
« 3800 km de LGV, implique une emprise au sol d’environ 380 km2. (environ 100 m de large en moyenne) Or c’est la surface de 25 communes françaises, en moyenne 14,88 km2 / commune, » D’où l’intérêt de ressortir des carton avant l’automne l’aérotrain qui lui, et bétonné, certes, mais ne mange qu’un mètre tous les dix mètres libérant ainsi de lourdes entraves que sont la liberté des animaux sauvages et les passages à niveaux.
Ce projet phare, l’aérotrain, s’il ne convient pas sa raison d’être pour remplacer le tgv entre Paris et Marseille avec ses dix mille passagers à l’heure, trouve toute sa place entre Tulle et Mende avec un potentiel de deux cent passagers par jour. Son autre argument imparable est la sustentation sur coussin d’air, représentant le plus fort du bruit du train traditionnel, et multipliant d’autant le rendement énergétique.
développement complet des arguments en ce sens : http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/eva-joly-elle-est-une-elfe-81173
Merci Coopain des bois de soulever ce couvercle de la grande vitesse du flux tendu fruit juteux de la délocalisation et du pénible transport routier déjà offensif avec ses quarante tonnes à fond la nuit dans nos villages tranquilles.
LES CONSEILLEURS NE SONT PAS LES PAYEURS...