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Commentaire de Login

sur Nicolas Sarkozy : un pouvoir sans boussole, sans parole et sans éthique


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Login Login 14 octobre 2010 11:40

@ Imhotep : Vous écrivez Ce combat est juste et digne. Il doit être engagé sans concession. Oui mais comment ? Il n’y a rien à attendre des politiques que ce soit demain matin, en 2012 ou plus tard. Ceci n’exclut pas que certains soient brillants et même sympathiques. Laissons de coté les psychopathes, sur-représentés dans la classe politique. 


Le diagnostic : On a besoin d’une direction dans l’entreprise ou d’un gouvernement, et mettre en place et conduire des activités, les organiser, est une activité à part entière. C’est la clé du problème, parce que cette activité est devenue complexe, par la manière dont cette activité est en elle-même organisée. Qui l’organise ? Si les mêmes l"organisent et l’exercent, cette activité devient une finalité en elle-même !.

Il se trouve qu’aujourd’hui nous pouvons mettre en place des organisations en associant cette activité de manière très forte avec les activités qu’elles supportent. autrement dit, nous pouvons même dans un certain nombre de cas, nous passer totalement d’un groupe dont la seule fonction est d’organiser. Ceci pour toutes les activités de l’exécution, du développement et bientôt de la conception même des activités. 

Organiser devient une commodité alors qu’elle a été la clé du pouvoir.... Il faut donc organiser en dehors des cercles de pouvoir mais bien sur avec le soutien des mouvements démocrates et créer les outils nécessaires à la reconquête de la démocratie.

C’est la transformation que nous devons mettre en place. Les politiques sont les derniers à vouloir le comprendre... Les grandes entreprises l’ont compris. Elles achètent les marchés, elles ne les font plus... Compte tenu de l’évolution du monde, nous en voyons les conséquences.

Maintenant, posons nous la question. Et si nous utilisions ces mêmes techniques pour conduire le projet de nous passer des partis politiques pour de travailler qu’avec les hommes qui démontrent dan les faits la qualité de leur engagement, non pas par finalité mais par nécessité, pour construire un futur. Il n’y a aucune fatalité juste de la bêtise.

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