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Commentaire de samuel *

sur Protectionnisme, dévaluation, TVA sociale : c'est (presque) la même chose !


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samuel * 15 octobre 2010 19:09


 Je ne suis pas économiste, donc ma réponse à toutes ces affirmations, parfois celles d’un camp, parfois celles d’un autre camp opposé, ne sera surement pas tres complete.

 Je comprends l’influence du taux de change sur les flux commerciaux. La hauteur de votre monnaie, c’est le prix auquel vous vendez votre travail au reste du monde, et c’est l’inverse du prix auquel le reste du monde vous vend son travail. Donc avec une monnaie chere on perd et on gagne, et avec une monnaie pas chere on gagne et on perd. Dans le cas d’une monnaie chere, on gagne de pouvoir acheter les biens produits dans le reste du monde pour pas cher, et on perd en competitivité, et dans le cas inverse on gagne et perd l’inverse.
 
 Mais les taux de change ont aussi une influence avec les flux de capitaux, qui est d’autant plus importante que les flux de capitaux sont liberalises. Donc on doit surement pouvoir gagner et perdre des choses sur le plan financier selon le taux de change.

 Les taux de change sont influences par ces flux qu’ils influencent : il y a interaction. Je crois que selon la théorie libérale, si on laisse interagir taux de change et flux commerciaux et de capitaux, les taux et les flux se stabilisent en un « bon » equilibre. Mais pour rajouter de la complexité à tout ça, tous les Etats (Chine, USA, Europe...) peuvent eux aussi agir sur les taux de change, et ils ne s’en privent pas. Les Etats ne jouent donc pas le jeu de l’autoregulation « vertueuse ».


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