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Commentaire de spartacus1

sur Etats-Unis : Le bon choix


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spartacus1 spartacus1 28 décembre 2010 10:59

Je crois katalizeur que tu n’as pas mis totalement en évidence la profonde imbécillité de cet article. en effet on peut lire dans le même article :
"...le retour à la croissance ne peut se réaliser qu’à la faveur d’un accroissement substantiel des dépenses publiques....« 
et :
 »...Les réductions d’impôts tout récemment adoptées aux USA autoriseront ainsi un redressement - au moins provisoire - d’une activité économique qui aurait été condamnée à décliner dangereusement du fait des réductions des dépenses publiques. ..."

C’est typiquement du Santi, l’homme qui se croit économiste, ou, pire, qui l’est !

Parce que vouloir à la fois l’augmentation des dépenses publiques et des réductions d’impôts, c’est ce foutre royalement de l’avenir et obérer le futur de nos enfants.

En bon keynésien, j’approuve totalement l’augmentation des dépenses publiques pour relancer la machine économique. En revanche, soucieux des comptes publics et de ce que nos enfants auront à payer, je désapprouve totalement les réductions d’impôts, au contraire, je préconise une augmentation des impôts pour les classes les plus riches et celles qui ne sont pas productives : les rentiers (à ne pas confondre avec les retraités) et actionnaires qui n’ont eu que la peine de naître.
À l’instar de Mme Bettancourt (c’est juste un exemple), qui n’a jamais rien fait de sa vie que d’encaisser des rentes. Les salaires totalement indécents des dirigeants devraient aussi être frappés plus lourdement.

Après tout, la Suède est un pays qui réussit, économiquement, bien mieux que la France (sans avoir les richesses naturelles françaises) et qui frappe ces catégories de citoyens de prélèvements fiscaux allant jusqu’à 80 % de leur revenus.

À titre personnel, si l’on me donne les revenus de Mme Bettencourt, je suis tout à fait disposé à payer 80 % d’impôt sur ces revenus, je serais encore plus que largement gagnant par rapport à ma situation actuelle qui est pourtant loin d’être misérable.

Bref, comme toujours avec Santi, du grand n’importe quoi, enrobé dans un verbiage qui se veut économique.


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