Il y a comme cela, d’heureux « hasards » qui tombent vraiment toujours à pic....

1/Pour être blanc comme neige et berner son monde (quand on ne partage vraiment aucune des valeurs du « parti blanc », ’inverses à celles des Saigneurs) il suffit de faire passer les autres pour les affreux.
2/ Pour la pleine réussite de la manoeuvre, trouver des boucs émissaires, ou à défaut fomenter des actes odieux, en faisant appel à des officines (Eurogendfor ? le bébé de MAM) qui font le sale boulot dans le secret (elle aime cela) en rejetant la faute sur les boucs émissaires, peut-être un peu doux idéalistes, ayant rêvé d’un monde meilleur trop fort et attirés dans un guet-apens par l’intermédaire de cellules spéciales créées de toutes pièces par les service secrets (encore !!)
3/ Apparaître , blanche d’indignation à tous les flashs des bulletins officiels ( chantés sur tous les airs de la fanfare officielle) pour clamer sa détermination sans faille à trouver les coupables .Après un temps de recherche le plus bref possible, prouvant la farouche détermination et l’efficacité exemplaire du management saigneurial, le coupable est vilipendé, exhibé, le temps que l’opinion se calme.
Cela n’empêche pas qu’il faille assurer l’ordre public, c’est indéniable.Mais des gens comme MAM, empêtrée dans sa saga des affaires tunisiennes n’est vraiment pas crédible dans ce rôle.
En attendant des temps meilleurs, je me suis laissé dire qu’aucun mandat d’arrestation (encore moins international), n’avait jamais été lancé par les autorités américaines pour retrouver Ben Laden, « oubliant » ce détail d’importance lorsqu’ils abreuvèrent les médias de leurs images où des individus (Blackwater ?) casqués, bottés et armées comme des robocops couraient dans tous les recoins de la planète pour le rechercher.
Il faut croire qu’avec un tel exemple sous les yeux, MAM n’a pas voulu être en reste pour se refaire une virginité...
C’est vrai qu’avec Ben Ali elle a été prise de court.