Bon article de votre part et constat très juste - pour une fois que je suis d’accord avec vous...
Développer une agriculture vivrière passe par l’adoption de méthode
agricole adaptées au lieu et a l’environnement de ceux qui travaille la
terre et vive de ces produits.
Ce sont des stratégies locales, basées sur la diversités des récoltes,
polycultures, et en adéquation avec les ressources... Ce qui
revient souvent (pas toujours) a abandonner la production de denrées
alimentaires ayant un attrait commerciale.
Un exemple ; par exemple la culture - ou le domptage du mesquite au
Niger... le mesquite est un arbre a tendance envahissante, adapte au
climat désertique et dont les gousse comestible donne une farine
extrêmement nourrissante et tres bonne pour peu qu’on sache le cuisiner
(anciennement une base de l’alimentation des indiens du Texas).
Plutôt que de cultiver du blé ou tout autre ressource gourmande en eau,
et faisant l’objet d’une demande sur le marche international, la culture
du mesquite ne nécessite pas d’eau, ne s’exportant pas, et donnant
aussi un bois de grande qualite est ideale dans ce contexte.
Un arbre est productif en 3 ans et donne 2 récoltes par an entre 50 et 100 kilos de gousses, a taille adulte.
Un exemple parmi tant d’autre...