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Commentaire de Henri Dyzers

sur Dans la République de Solferino, l'été des chauds et froids strauss-kahniens…


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Henri Dyzers 3 juillet 2011 23:25

Gardons nous de toutes réactions hâtives.

 Je n’ai jamais cru à la culpabilité de DSK, trouvant réellement l’histoire « abracadabrantesque ». Certes les éléments portés à notre connaissance au début de l’affaire pouvaient laisser penser le contraire malgrè quelques incohérences (DSK ne fuyait pas puisque son avion était réservé depuis la veille et qu’il avait un rendez-vous que personne ne pouvait remettre en cause avec Mme Merkel - il a lui même appelé l’hôtel à deux reprises pour récupérer son téléphone, attitude étrange pour un soi-disant coupable)

Et voilà que la pauvre victime (il eût mieux valu parler de plaignante) qui avait été obligé de fuir son pays après un viol, qui élevait sa fille, unique objet de ses pensées se transforme aujourd’hui en femme légère, mariée à un monsieur peu recommandable et possédant un compte bancaire bien fourni. Cela devrait obliger chacun à réfléchir pour revoir éventuellement l’avis négatif émis sur DSK.

Je crois encore davantage aujourd’hui à l’innocence de DSK. Le problème n’est pas de savoir si DSK a eu une relation avec cette femme de chambre mais si cette relation était contrainte.

Si la réponse est non alors le reste est de l’ordre de la vie privée et nous n’avons pas à porter un jugement sur cela


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