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Commentaire de Imhotep

sur Affaire DSK : à ceux qui ne savent rien


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Imhotep Imhotep 4 juillet 2011 10:37

Toutes les parties en italique qui distinguait les passages des journaux dont leur nom a été supprimée. Je ne sais pas pourquoi et cela rend l’article moins compréhensible. Les voici :


  • Actuellement, la plaignante affirme qu’elle est prête à certifier qu’elle a bien été violée dans le passé dans son pays natal, mais dans des circonstances différentes de celles qu’elle avait décrites.
  •  - Elle a inventé avoir été victime d’un viol collectif

    Lors des entretiens lié à l’affaire DSK, la plaignante avait donné des détails de sa précédente agression dans son pays natal.

    Mais dans une lettre de Cyrus Vance adressée aux avocats de la défense jeudi 30 juin, le procureur révèle que la jeune femme est revenue sur ses allégations : « Dans des entretiens ultérieurs, elle a admis que le viol collectif n’avais jamais eu lieu, (…) que ce faux incident faisait partie de l’histoire qu’elle devait mémoriser. »


  •  La plaignante a livré ce récit des événements lorsqu’elle a été interrogée par le Grand Jury sur ce qu’elle avait fait après les événements intervenus dans la suite 2806.

    La plaignante a par la suite admis que ce récit était erroné et qu’après l’événement survenu dans la chambre 2806, elle avait nettoyé une chambre voisine puis qu’elle était retournée dans la suite 2806 et qu’elle avait commencé à la nettoyer, avant de raconter l’événement à sa supérieure.

  •  il y écrit qu’elle a produit sous serment un « récit erroné » de l’agression sexuelle dont elle affirme avoir été l’objet
  • « Elle dit en gros ’Ne t’inquiète pas, ce type a beaucoup d’argent. Je sais ce que je fais’ » selon la source citée par le New York Times.
  • - Elle n’est pas pauvre. Les enquêteurs ont découvert que la plaignante disposait de plusieurs comptes bancaires sur lesquels ont transité près de 100.000 dollars en deux ans. Quand ils l’ont interrogée sur l’existence de ces dépôts, Nafissatou Diallo a déclaré n’en rien savoir. Sauf que l’une des personnes ayant déposé du liquide sur ces comptes s’avère être le dealeur emprisonné. Son mari, donc. Elle serait également en possession de cinq téléphones portables, elle qui avait déclaré n’en avoir qu’un seul.
  • De plus, je suis préoccupée par le caractère incomplet et imprécis de la version que donne à lire la presse. Il a été largement rapporté qu’il se serait agi d’une relation « consensuelle », et que seules les circonstances de mon départ faisaient l’objet d’une enquête. D’une façon particulièrement regrettable et inexplicable, un blog tenu par l’épouse de M. Strauss-Kahn a parlé de « cette aventure d’un soir ». Mais personne, y compris le Fonds, n’a éclairci la nature de cette relation, ni précisé que l’enquête visait également à établir si M. Strauss-Kahn avait abusé de son pouvoir à l’occasion. Plus récemment, des allégations à propos d’un « coup monté » sont parues dans des médias français. Tout ceci renvoie l’impression fausse que le seul objet de l’enquête serait les circonstances de mon départ. Les circonstances de mon départ et le montant de mon indemnité de licenciement sont un non-sujet, comme vous le savez certainement grâce à vos recherches. Par respect pour votre démarche, je me suis abstenue de tout commentaire dans la presse sur la véritable question qui nous occupe ici : la conduite de M. Strauss-Kahn. Afin que l’on ne puisse se tromper sur mon opinion à ce sujet, je veux vous l’exposer ici par écrit. Je pense que M. Strauss-Kahn a abusé de sa position dans sa façon de parvenir jusqu’à moi. Je vous ai expliqué en détail comment il m’a convoquée plusieurs fois pour en venir à me faire des suggestions inappropriées. Malgré ma longue vie professionnelle, je n’étais pas préparée à des avances du Directeur Général du FMI. Je ne savais que faire ; ainsi que je vous l’ai dit, je me sentais « maudite si je le faisais et maudite si je ne le faisais pas ». Après un temps je fis la grave erreur de me laisser entraîner dans une très brève aventure. Mais il est incontestable, à mon avis, que M. Strauss-Kahn ait usé de sa position pour avoir accès à moi.[…] C’est également un homme agressif, bien qu’il soit charmant. Il vient d’un pays, la France, que j’adore et où j’ai de nombreux bons amis. Mais je crains que cet homme ait un problème pouvant le rendre peu adapté à la direction d’une institution où des femmes travaillent sous ses ordres.
  • Je suis arrivée là-bas, j’avais un col roulé noir, ça fait peut-être triper les mecs un col roulé noir mais faut arrêter, et après surtout c’est que ça s’est très très mal fini, parce qu’on a fini par se battre. Donc ça s’est fini très très violemment, puisque je lui ai dit clairement “non, non”, on s’est battus au sol, pas qu’une paire de baffes, moi j’ai donné des coups de pieds, il a dégrafé mon soutien-gorge, il a essayé d’ouvrir mon jean… » 
  • « Je ne veux plus protéger un homme qui abuse des femmes, j’espère que notre système judiciaire, qui est juste, le condamnera à hauteur des faits qui lui sont reprochés », déclare-t-elle au Figaro. Kristin Davis raconte avoir entendu parler pour la première fois de DSK en janvier 2006, lorsque Irma Ricci, l’une de ses « filles », vivant entre Paris et Londres, l’a avertie qu’il allait l’appeler à New York. « Irma lui offrait ses services régulièrement depuis 2002, elle le rencontrait au club Le Baron à Paris. Elle m’a dit : ne lui envoie pas une petite nouvelle, il est trop agressif, trop brutal. » Ce même mois de janvier, affirme l’ex-« Manhattan Madam », Dominique Strauss-Kahn l’aurait appelée pour lui demander une « Américaine typique plutôt brune ». Le tarif était de 1200 dollars de l’heure. « La conversation a été très rapide, il a été charmant », poursuit-elle, tout en refusant de dire si la destination était l’hôtel Sofitel. La call-girl, une fille du nom de Samantha, disponible ce soir-là, n’était pas des plus expérimentées mais elle correspondait à son goût. « Quand j’ai appelé pour vérifier que tout s’était bien passé, j’ai senti qu’il y avait quelque chose. Elle m’a dit ne plus vouloir avoir affaire à lui. Il avait été physiquement agressif, dominateur, intimidant. » DSK aurait fait appel une seconde fois à ses services (pour une Brésilienne), en septembre de la même année, cette fois sans poser de problème. Kristin Davis affirme avoir gardé sur ordinateur les preuves de ces « transactions » à New York.
  • Selon ses informations, Nafissatou Diallo serait entrée sciemment dans la chambre du président du FMI, dont elle aurait su qu’il était un de ces « riches clients » susceptibles de payer pour une relation sexuelle. Le fait que cette relation ait eu lieu est le seul qui ne soit contesté ni par la défense ni par la plaignante. Cette dernière affirme que cette relation a été obtenue par la force. e New York Post ajoute que c’est après cette relation sexuelle que les choses se sont dégradées. La jeune femme, réclamant un paiement, aurait essuyé un refus de DSK. Elle aurait insisté durant plusieurs minutes pendant que DSK se rhabillait dans la suite. Le quotidien indique que la plaignante aurait pu être bousculée durant cet échange. Selon ses sources, l’humiliation ressentie l’aurait décidée à se déclarer victime d’un viol.
  • Les avocats américains de Dominique Strauss-Kahn ont démenti dimanche 3 juillet toute relation tarifée entre leur client et la femme de chambre du Sofitel qui l’accuse d’agression sexuelle, dénonçant les informations du tabloïd New York Post. Le quotidien new-yorkais affirme dimanche que l’accusatrice de 32 ans, dont la loi américaine interdit de révéler l’identité, se livrait « régulièrement » à la prostitution et que l’ancien directeur général du FMI « avait refusé de la payer » après leur relation sexuelle le 14 mai dans la suite 2806 du Sofitel./« Pas de dispute » Elle était « bien au courant de son statut de VIP » et comptait bien en tirer profit, selon le tabloïd, citant une source non-identifiée proche de la défense de DSK. L’équipe d’avocats de DSK, emmenée par Benjamin Brafman et William Taylor, a fermement démenti ces allégationsIl n’y a pas eu de dispute entre les parties parce qu’il n’a pas été question d’argent", déclarent les avocats dans un communiqué.








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