Je comprend bien l’indignation que peut générer à la somme de toutes les aberrations pour la santé qui sont listées dans cet article.

Mais y-a t’il réellement conscience de la part des « élites » de la nocivité globale de toutes ces substances ? Ne les surestimez-vous pas un peu ? Quand on voit commet les lobby industriels sont capables d’influncer pour vendre leurs produits même toxiques, et la facilité avec laquelle les politiques les suivent, chacun y trouvant bénéfice pour son portefeuille, ne serait-ce pas simplement un effet secondaire à grande échelle de l’appat du gain par tous les moyens ?

Ne pensez-vous pas que si la population mondiale décroit, ils en mourront aussi dans une proportion équivalente : leurs enfants, comme les notres mangeront et boiront autant de saletés !

J’aurais tendance à penser que tout celà n’arrive que par pure inconscience, et sommeil profond bercé par l’appât du gain. Le choix de l’avoir au lieu de celui d’être.

Et si il y a quelques psychopathes bien frappés pour en vouloir au genre humain, il ne faut sans doute pas croire que parceque l’inconscience générale va dans leur sens que c’est forcément eux qui tirent les ficelles. Mais s’ils ont un peu de pouvoir, ils peuvent évidemment nous pousser un peu plus près du gouffre.

Pour s’en sortir : étape 1 - sortr du sommeil, ce qui permet à sortir de l’influence des quelques psychopathes.

Pour aller plus loin il faudrait que la société se vaccine contre l’influence nocive de ces psychopathes (de l’argent ou du pouvoir ou du sexe), ce qui signifie aussi qu’elle cesse de les générer. Comment émergent_ils ? D’une profonde maltraitance nous explique Alice Miller. Où a lieu cette maltraitance : dans les rapports quotidiens entre êtres proches, quand il n’y a plus de reconnaissance de l’autre comme être humain, par une violence pas forcément physique, mais souvent psychologique : Un exemple (pas exhaustif bien sûr, il y en a d’autres) : le message « tu es qu’un nul et rien du tout » distillé au quotidien génère : « je réussirai et serai le meilleur, omniprésent, j’écraserai les autres... » (ça vous rappelle quelqu’un de bien connu ?)

Si on juge l’autre, à quoi celà nous sert-il ? Demandons nous où est l’être humain en nous, là maintenant, tous les jours, à tous les instants, est-il présent et vivant ? N’y a t-il pas une peur qui l’enchaîne la plupart du temps ? Alors seulement il est possible de le reconnaître sans peur chez l’autre (enfant conjoint collègue, voisin, etc.), et de lui permettre de s’exprimer.

Apprenons à nous connaître et identifions nos propres illusions. C’est un investissement pour la génération qui suivra.

En attendant merci de nous informer. Il y a des faits qu’il vaut mieux ne pas ignorer.