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Commentaire de Scual

sur Pourquoi les censeurs du 11-Septembre sont des ennemis de la démocratie


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Scual 15 septembre 2011 15:07

Petite leçon d’histoire pour M Joffrin.

Pour rester dans le même ton, je vais utiliser un exemple bien Godwin. Hitler, grand démocrate humaniste s’il en est, arriva au pouvoir en Allemagne par les urnes et grâce à la démocratie.

Conclusion en suivant les enseignements de Joffrin : les ennemis d’Hitler sont les ennemis de la Démocratie.

Ça c’est fait... au moins si toutes les accusations qui suivent sont fausses, il restera toujours cette démonstration de la débilité profonde du raisonnement qui a amené M Joffrin à me, à nous traiter de négationnistes antidémocratiques.

Maintenant petite leçon de politique pour M. Joffrin. La démocratie est une utopie et par conséquent elle est impossible. On trouve donc des tas de régimes plus ou moins démocratiques ou représentatifs, mais si on les juge uniquement du point de vue de LA Démocratie, ils sont forcément imparfaits. Nous sortir la démocratie comme grand principe dont on serait ennemi ou allié en dit donc déjà long. Ça a la même valeur qu’invoquer le Bien et le Mal, la Liberté et autres grands principes.

Nos systèmes démocratiques par conséquent imparfaits, doivent donc être entretenus, surveillés... il faut des gardes fous pour éviter qu’ils s’écartent du droit chemin. Sinon un jour ou l’autre on aura droit à l’arrivée au pouvoir d’un nouvel Hitler. Heureusement dans son imperfection, notre système nous permet tout de même une chose formidable qui s’appelle liberté d’expression, qui entraine la libre circulation de l’information et des idées. C’est probablement ce qu’il y a de plus démocratique dans notre système. Grâce à ce suprême garde fou, il devient très difficile pour les mensonges propagandistes servant des objectifs totalitaires, de pervertir la société jusqu’au point de basculement vers le mensonge et la folie politique. Ce garde fou est désormais accentué et démultiplié par internet. Si la bêtise s’y répand vite, la vérité s’y répand encore plus vite. Il y aura toujours quelqu’un pour démontrer un mensonge et il trouvera toujours du soutien parmi les gens de bon sens.

C’est contre ça que Joffrin s’élève, et comme tout propagandiste de régime totalitaire, il le fait en revêtant le même costume que ceux qu’il combat, dans le plus pur style Orwellien. Pourtant difficile de ne pas voir la supercherie : comment peut-on se battre pour « la démocratie » en demandant à tout le monde de croire aveuglement en fermant leur gueule s’ils ont des doutes ? Le principe n’est-il pas de convaincre pour que la voix majoritaire soit la bonne ? Mais alors c’est les « négationnistes » du 11 septembre qui, en essayant depuis des années de convaincre preuves à l’appui, se comportent en démocrates....

En essayant de castrer l’information et en attaquant violemment la liberté d’expression, M Joffrin s’est comporté comme un des pires personnages de l’histoire. Je n’irais pas jusqu’à l’insulte, même si le mot qui me vient à l’esprit n’est pas une insulte mais la définition exacte de ce que M. Joffrin a démontré être. Récemment une blondasse a porté plainte quand on lui a attribué cet adjectif, alors je voudrais m’éviter les ennuis ou la censure.

Je vais quand même donner une dernière leçon d’Histoire à M. Joffrin. Toujours en restant dans le Godwin qui lui tient tant à cœur, comme s’il voulait se l’approprier pour ne pas qu’on lui mette le nez dedans : Les thèses officielles sous le régime nazi démocratiquement arrivé au pouvoir se sont révélées fausses : de la pure propagande. Officiel ne signifie donc pas vrai.

Normalement il y a même des personnes qui font de ce devoir de citoyen qu’est « vérifier si c’est vrai » leur métier. Ça s’appelle journaliste, mais malheureusement il n’y en a quasiment plus. M. Joffrin qui n’a manifestement pas vérifié ou alors ment sciemment, est l’exemple type dont on peut être certain qu’il n’en est pas un. Mais alors résumons, s’il est là pour se battre contre la liberté d’expression et contre la libre circulation de l’information, contre la vérité, qu’il n’enquête pas et ne vérifie rien, qu’il relaie de toute ses forces la thèse officielle du régime peu importe qu’elle soit démontrée comme fausse sur plusieurs points précis et vérifiables, peu importe que cette thèse soit le pilier servant de base idéologique à une des pires répétitions possibles de l’histoire ayant déjà fait plus d’un million de morts... Qu’est-il ?

Comment qualifier un tel personnage ? Sincèrement si cette personne ne me traitait pas de négationniste ennemi de la démocratie, au moins ça, je me sentirait coupable d’être un collabo. Mon honneur est sauf, ouf ! Par contre celui de Joffrin, plus rien ne pourra le laver. On sait désormais tous quel est son vrai métier.


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