Je mets à profit votre article et son rapport à la célérité de la lumière qui serait indépassable, pour vous demander des explications sur le sujet ci-dessous :
À la page 362 du livre « La magie du cosmos » de Brian Greene (édition en format
broché de 672 pages), on lit :
« Environ cent milliards d’années avant notre ère, toutes les galaxies — sauf
les plus proches — s’éloignaient les unes des autres du fait de l’expansion
de l’espace plus rapidement que la lumière et c’est pourquoi elles sont,
aujourd’hui, impossibles à voir malgré la puissance de nos télescopes ».
1)
« cent milliards d’années avant notre ère » ?...
Comment est-ce possible si l’univers que nous connaissons n’est âgé que de 13
à 15 milliards d’années ?
« cent milliards d’années avant notre ère »
Serait-ce une coquille d’imprimerie (million au lieu de milliard) ?
Ou une erreur de traduction (billion en Anglais = billion ; billion en Américain = milliard) ?
2)
« l’expansion de l’espace plus rapidement que la lumière » ?...
Jusqu’ici, j’ai toujours entendu dire que la célérité de la lumière constitue
une limite absolue. A priori, je suis prêt à accepter l’idée que cette limite
pourrait être dépassée.
Mais, cette « possibilité » est-elle une réalité, une vérité scientifique ?
L’aurait-elle été dans le très lointain passé ?
Bien entendu, j’ai posé ces questions à Brian Greene, par courriels en
Anglais. Mais, il n’a pas daigné prendre la peine de me répondre...
Merci de vouloir bien accepter de répondre à mes deux questions dans une forme
accessible à un lecteur qui n’est pas mathématicien, physicien, etc.