Non, ce n’est pas exclusivement pour rassurer les marchés, c’est aussi pour avoir un espoir de gagner les élections.
Avec un État qui a prit 11% de PIB aux ménages depuis les années 80, il est vrai que la solution des question de dettes et de notation devrait passer plus par des économies sur la dépense publique que par des augmentations d’impôts.
Manque de bol, les contribuables ne sont pas aussi organisés que les syndicats.
Fort du précédent de 97, quel gouvernement aurait le courage de risquer de les avoir à nouveau dans la rue pendant toute la campagne électorale avec leur éternel exigence de ne pas participer aux efforts collectifs ?
Être courageux ne veut pas dire être suicidaire.....