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Commentaire de suumcuique

sur La Hongrie ou la gouvernance de l'extrême droite révélée


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suumcuique suumcuique 25 janvier 2012 20:39

Les Hongrois ont soutenu le Troisième Reich parce que le Troisème Reich leur offrait un avenir, grâce, notamment, au commerce de troc que les autorités allemandes de l’époque avaient instauré, non seulement avec la Hongrie, mais avec tous les autres pays dits de l’Est. Le gouvernement du Troisième Reich a été le seul à instaurer en Europe cette économie basée sur le troc dont les « écolos » disent rêver.

Les Hongrois ont justement pleuré après 1945 parce que l’occupant soviétique les avait réduits en esclavage. Il faudrait que les démocrates bien-digérants de tout poil de l’Europe de l’Ouest aient tous passé de 45 à 150 minutes dans une file d’attente pour pouvoir acheter une miche de pain pour qu’ils puissent commencer à se rendre compte de l’absurdité du système communiste tel qu’il s’est instauré en Hongrie après la défaite militaire du Troisième Reich.

Les nouvelles générations hongroises ne pleurent pas, elles chialent, elles chialent parce que, après 60 ans de communisme, elles se sont accoutumées à la charité, cette charité que leur offre, depuis 1989, le capitalisme financier. Après 40 ans de lavage de cerveau communiste, comment voulez-vous que des êtres humains résistent au chant des sirènes du capitalisme financier ? De Charybde en Scylla : du communisme au capitalisme financier.

Depuis 1945, la Hongrie est gérée cahin-caha(l), comme tous les autres pays européens, par les hommes de paille de l’occupant. Les communistes se changent en capitalistes vers 1989. Le fait que la Hongrie ait été un des tout premiers pays européens à avoir souhaité rejoindre l’Otan ne démontre qu’une seule chose : que le gouvernement hongrois sorti après 1989 des premières élections au suffrage universel était encore plus acquis aux lubies capitalo-communistes du soi-disant « nouvel ordre mondial » que celui des autres pays européens dits de l’Est.

Il reste, en Hongrie comme dans tous les autres pays européens occupés, des patriotes ; et, en Hongrie, les patriotes ont récemment brûlé l’emblême publicitaire de l’occupant : le drapeau eurolandais.

Bon sang ne ment pas.


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