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Commentaire de morice

sur La bonne sœur de Meyssan


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morice morice 26 janvier 2012 01:35

ayé, j’ai trouvé une deuxième bonne sœur Furax


http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/emmanuel-berretta/clash-entre-marine-le-pen-et-france-inter-25-01-2012-1423681_52.php

La joute verbale, qui a provoqué un débord du temps d’antenne, a porté principalement sur la Syrie lorsque le chroniqueur Bernard Guetta a interrogé la candidate sur le fait qu’elle était à peu près la seule, avec Vladimir Poutine, à défendre le régime de Bachar el-Assad. Étonnement de Marine Le Pen : « Vous avez lu ça où, dans un Carambar ? » La caméra ne montre pas le visage de Bernard Guetta, mais on entend sa consternation. Patrick Cohen appuie la question de son confrère en citant précisément sa source : « Laissons Bachar el-Assad procéder aux réformes nécessaires, dites-vous. » Cohen s’appuie sur un entretien que Marine Le Pen a accordé à La Revue, un mensuel dirigé par François Soudan et dont elle fait la couverture. La Revue n’est pas encore paru, Patrick Cohen l’ayant eu un peu avant.

Marine Le Pen livre le fond de sa pensée à propos du régime syrien : « Je suis contre une intervention armée telle qu’elle se profile. » Bernard Guetta réagit : « Personne ne la propose. » S’ensuit tout un échange sur qui sont « les gentils » et qui sont « les méchants » en Syrie. Marine Le Pen est chatouillée sur sa proximité avec Frédéric Chatillon, un ancien responsable du GUD, dont les journalistes pointent les sympathies pro-Assad. La présidente du Front national s’en défend et explique qu’il n’est qu’un simple prestataire de services dont elle n’est pas comptable. Le mot « diffamation », lourd de menace judiciaire, est lâché à l’encontre de Patrick Cohen...

Agacée en fin d’entretien, elle conclut en délégitimant le questionnement sur la Syrie et son entourage : « Nous sommes ici à France Inter et le niveau des questions, honnêtement, que vous posez et l’intérêt que vous avez pour des choses qui sont juste dérisoires démontrent qu’effectivement vous participez de cette élite qui est complètement déconnectée de la réalité et des préoccupations des Français. » « Quand on est candidat à la présidence de la République, la politique étrangère fait partie des sujets importants », rétorque Patrick Cohen, contacté par Le Point.

tout le long de l’intervention elle est mal à l’aise.... fort mal à l’aise.

allez, je vous le dis : j’ai aussi travaillé avec Patrick Cohen, dans les mêmes studios, à l’époque il était très jeune, sortait juste de l’Ecole de Journalisme et était déjà l’un des plus doués de sa génération. D’ailleurs, depuis il l’a prouvé largement je pense.... et c’était aussi un fin connaisseur en musique !

C’était ici ; dans un document INA ; à la fin de ce reportage, vous pouvez voir la moustache de... Francis Tyskiewicz, qui deviendra plus tard patron de RadioCity.

Bravo, Patrick !!!!


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