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Commentaire de jack mandon

sur Les deux bergers de Sarkholand, et le troupeau perdu...


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jack mandon jack mandon 21 février 2012 13:03

Bonjour Olivier,

Vous avez aussi oublié de nous parler de François Asselineau,
c’est aussi un présidentiable.

C’est un grand connaisseur de la France, il est à la politique ce qu’un excellent compositeur
est au bon interprète, de l’histoire à l’économie politique son programme est mille fois plus
dense, riche, approfondi que celui des autres.

Biographie de François Asselineau

François Asselineau, né le 14 septembre 1957 à Paris, est un responsable politique français.

Biographie

François Asselineau est né le 14 septembre 1957 à Paris.

Diplômé d’HEC Paris en 1980, il a été reçu au concours d’entrée à l’ENA à l’issue de son service national en 1982. Sorti deuxième de la voie d’administration économique en 1985 (Promotion Léonard de Vinci) il a choisi le corps de l’Inspection générale des finances.

Il a notamment été chargé de mission auprès du Président du Crédit National puis chef du bureau Asie-Océanie à Bercy avant d’être appelé, en 1993, comme conseiller pour les affaires internationales au cabinet de Gérard Longuet, ministre de l’Industrie et du Commerce extérieur du gouvernement Edouard Balladur. En juin 1995, il devient directeur du cabinet de Françoise de Panafieu, ministre du Tourisme, dans le gouvernement Alain Juppé (1), puis en janvier 1996 chargé de mission au cabinet d’Hervé de Charette, ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement Alain Juppé (2), où il est en charge de l’Asie, de l’Océanie, de l’Amérique latine et des questions économiques. A ce titre, il prépare sur le fond les voyages du président de la République et du ministre des affaires étrangères, notamment en Chine, au Japon, en Asie du sud-est et en Amérique latine. Il rencontre et participe aux entretiens avec de nombreux dirigeants de la planète, de Jean-Paul II à l’Empereur du Japon, et de Nelson Mandela aux plus hauts dignitaires chinois, Jiang Zemin et Li Peng.

Après la dissolution de 1997, il rejoint l’Inspection des finances et se rapproche de Charles Pasqua lorsque celui-ci décide, en janvier 1999, de présenter une liste aux élections européennes de juin afin de protester contre la décision de Jacques Chirac de ne pas soumettre la ratification du traité d’Amsterdam au référendum. Quelques mois plus tard, François Asselineau devient directeur général adjoint chargé des affaires économiques et internationales au Conseil général des Hauts-de-Seine, présidé par Charles Pasqua, puis son directeur de cabinet de 2000 à 2004. Nicolas Sarkozy, qui devient Président du Conseil général des Hauts-de-Seine en avril 2004, le nomme Délégué général à l’intelligence économique à Bercy, poste qui va vite se révéler sans contenu.

François Asselineau, actuellement Inspecteur général des finances et professeur à l’EMLV (Pôle Léonard de Vinci), s’est engagé en politique en 1999, en adhérant pour la première fois à un parti, le Rassemblement pour la France (RPF). Membre du Bureau National, directeur des études et porte-parole de ce parti, François Asselineau est élu Conseiller de Paris en mars 2001 sur une liste qu’il conduisait dans le XIXe arrondissement (15,8% des voix au second tour, en triangulaire contre le candidat socialiste et le candidat RPR-UDF). Après avoir adhéré un temps à l’UMP, il en a démissionné en octobre 2006.

Ecrivant sous des pseudonymes dans plusieurs revues, analysant avec acuité les raisons pour lesquelles la construction européenne conduit la France dans une impasse politique, économique et sociale d’ampleur historique, il est actuellement un penseur et un conférencier écouté. Après un tour de France pendant lequel il a expliqué dans ses conférences qui gouverne selon lui la France, il est le président-fondateur d’un nouveau parti, l’Union populaire républicaine (UPR), créée le jour du 50ème anniversaire du Traité de Rome, et dont le but est de faire sortir démocratiquement la France de l’Europe.

Marié et père de deux enfants, c’est aussi un globe-trotter impénitent qui s’est déjà rendu dans 85 pays du monde. En particulier passionné d’Asie, il a vécu au Japon et parle le japonais.

Que se passe t-il donc ?

La France serait elle une démocratie de surface ?


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