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Commentaire de morice

sur Syrie : Prenons le journal Le Monde au Pied de la Lettre


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morice morice 28 février 2012 10:06

et c’est reparti avec Teil, l’ex grand copain de Meyssan, qui a pourtant bien dit qu’en Libye Meyssan avait menti... sur toute la ligne, comme il continue à mentir aujourd’hui !!!


« Dans le cas Libyen, les médias avaient dans leur grande majorité repris les allégations des 6000 morts à Tripoli (AFP) et des mercenaires de Kadhafi (France 24). Or depuis, j’ai été en mesure de prouver que ces allégations étaient soient infondées, soient purement fausses. 30 minutes de vidéo sur mon site internet suffisent à prendre connaissance de ces faits »

les vidéos des rues envhaies par des hommes en casque matraque à la main ont circulé montrant que c’était VRAI. VOUS MENTEZ.

le journalisme c’est aussi ça
http://www.france24.com/fr/20120220-syrie-Hani-al-Malathi-journaliste-syrien-denonce-campagne-desinformation-regime-demission-assad-medias

« En se comportant comme un porte-parole du régime, tout en jouant la carte de la provocation et de la désinformation, la télévision d’État a jeté de l’huile sur le feu au lieu de calmer les esprits, ce qui a contribué à radicaliser la colère de la rue et à approfondir les rancœurs entre les citoyens », poursuit encore Hani al-Malathi. « Il est irresponsable de consacrer 30 minutes d’un journal télévisé à la prétendue propagande diffusée par les médias étrangers sans évoquer ne serait qu’une fois la violence des services sécuritaires. Tout comme il est provocateur de diffuser des célébrations appuyant le pouvoir tandis qu’au même moment, des familles de victimes de la répression enterrent leurs morts. »

Selon le journaliste, les médias officiels syriens ont, de fait, perdu toute crédibilité. Il estime aussi qu’il ne reste plus aucune « personne censée » dans le pays qui puisse accepter de croire à une telle version des faits, y compris au sein des médias officiels. « Seuls 10 % des journalistes syriens travaillant dans ces chaînes continuent de croire les informations qu’elles diffusent, les autres se taisent car ils ont peur », conclut Hani al-Malathi.


lui, ne supporte plus non plus Meyssan...

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