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Commentaire de wesson

sur Dans les coulisses du meeting de Jean-Luc Mélenchon à Toulouse


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wesson wesson 8 avril 2012 03:06

« Effectivement si voter bêtement vous satisfait, il n’y a aucune raison de vous en priver  »

oui oui, on m’as déjà expliqué que voter pour le candidat qui porte un programme qui ne me plait pas est à contrario bien plus intelligent... 

« Evidemment c’est tellement simple d’attendre des autres que votre vie s’améliore [...] »
Ecrire ça en réaction à mon propos, soit vous ne m’avez pas lu, soit vous êtes d’une parfaite mauvaise foi. Qu’est-ce que j’ai expliqué ? Que l’état seul en tout cas ne pouvait pas radicalement changer les choses, mais que seul un mouvement populaire le pourrait. D’ou j’en concluait qu’il valait mieux un état bienveillant à ce propos plutôt que un qui chercherait à l’empêcher. Donc, absolument le contraire de ce que vous racontez : Si les gens veulent du changement positif, il faut que ça vienne d’eux, mais qu’ils y travaillent ensemble. Et là encore, l’histoire est riche d’enseignement en ce sens. Il n’y a aucune grosse avancée sociale qui n’ai été obtenue par autre chose que la lutte populaire.

 
« Vous savez au moins à quoi à servi la loi de 1973 »
Oui, à passer à une situation de plein emploi, aucune dette publiques et des salariés qui pouvaient vivre sans problèmes même avec le salaire minimum, 
à 10% de chômeurs, 20% de pauvres et un budget consacré aux intérêts de la dette extérieure supérieur à celui de l’éducation, et tout ça pour que effectivement il n’y ai pas ou peu d’inflation. Autrement dit, une peine immense pour un résultat ridicule.
Dans les années 1960 et suivantes, des manifs contre l’inflation, vous n’en aviez pas une seule. Par contre depuis en gros 1990, des manifs contre la vie chère, la retraite de merde et la baisse du pouvoir d’achat des salariés, il y en a eu quelques unes, et mon petit doigt me dit que ce n’est pas fini.


« le votre [combat] il est la conséquence d’une élection.  »
là il faudra m’expliquer un peu... parce que moi je n’ai pas voté pour Sarkozy en 2007, ni pour Chirac en 2002, ni même jamais pour le PS dès lors qu’il a pris son tournant libéral.

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