Il y a des dettes qui sont financières,
et qui ne sont pas citoyennes. Il est mathématiquement impossible de
rembourser ses dettes, la Grèce ne peut pas les rembourser pas plus
que l’ Angleterre ou le Japon qui sont surendettés.
Alors qu’en Islande, le peuple a pu
voter la fin des dettes sur son territoire car elles allaient
détruire leur niveau de vie sur des années avec après une
situation très difficile à remonter, dans l’Europe des banques,
c’est réduction des budgets, socialisation des dettes et nouveau
traité avec 0,5 % au lieu de 3% pour le pacte d’ (in)stabilibité.
Celà fait des années que les banques
sont renfloués avec 300 milliards en France, encore plus à
l’étranger, avec de nouveau plan encore en milliards d’euros ou
dollars qui ont réalisés, et cette privatisation des gains (dont
une partie de l’argent ne va pas dans l’économie) aboutit à une
socialisation des dettes et une hausse des prix par la spéculation.
C’est un enrichissement minoritaire, et un appauvrissement des
classes moyennes et populaires.
La dette des collectivités locales
sont très importantes dans de nombreux pays comme la Chine, les
Etats-Unis ou l’Inde, c’est un phénomène mondial. La hausse des
revenus des citoyens est économiquement ou financièrement,
théoriser ou libéraliser, comme un danger économique, ce qui est
faux. C’est une concentration des richesses qui génèrent un
mécontement populaire, lorsque les capacités de vivre en société
diminuent par le revenu obligatoire pour y vivre, et que les services
publics et le marché du travail sont cassés.