L’endettement des Etats, des régions, des collectivités locales et des
ménages sont très élevés, et si on les additionne ensemble, le taux
d’endettement général est encore plus important : plus de 500 % du PIB parfois.
Ceci est en contradiction avec l’augmentation constante du volume des richesses
mondiales.
La doctrine depuis plusieurs années est une baisse massive des impôts pour
les plus fortunés et les grandes entreprises, donc de favoriser la concentration
des richesses. Dans le même temps, les banques connaissent des injections
massives de liqudités, dépassant plus de mille milliards de dollars ou d’euros
facilement, rien que sur une année.
Le phénomène de l’endettement des Etats, régions, collectivités locales et
ménages va des pays importateurs de produits ou de services, aux pays qui
relocalisent les entreprises ( Chine, Inde,…), dans les 2 cas les dettes ont
explosés.
Les plans d’austérité ne concerne que les services publics, la dérégulation
du marché du travail ou la socialisation des dettes (des banques). Tandis que
les populations sont confrontés à des hausses généralisées des prix, qui ne sont
jamais suivis par les salaires ou des départs vers des pays sans droits
(travail, social,…) alors qu’ils ont participés à l’implantation de l’entreprise
sur le marché, et à la participation de ses bénéfices. De plus, les richesses
mondiales sont en constante augmentation, dans de nombreux domaines, financiers,
industriels, productions et services divers, diversification des types de
revenus ou accès à plus de richesses qui sont créées, et qui ne sont plus
répartis mais au contraire dont l’accès diminue.
Les rigueurs comme celle du FMI ou que l’ Union Européenne compte réaliser à
l’échelle européenne par le TSCG, n’ont jamais permis aux populations de
maintenir leur niveau de vie (au contraire), et par ses dérégulations : travail,
ouverture des frontières, baisse des droits sociaux,ect…,ont encore plus
contribués à augmenter les dettes des Etats, des régions, des collectivités
locales ou des ménages.