Bon matin ;
(j’ai réussi à éviter ce fil les jours précédents, mais il semble s’accrocher, le bougre...)

A part fermer les centrales (celui là de programme...) , je ne vois pas grand-chose de nature à crédibiliser votre discours, pas de discours politique, pas de quelconque théorie sociétale (sauf lologie, je sais : on l’a déjà dit) , pas de proposition structurelle.

Vous fûtes déçu en 1981, vous l’êtes aujourd’hui : normal ; fatal même. Il y a des états d’esprit dont il est difficile de se défaire et qui mènent fort logiquement aux même conclusions quelques soient les contextes et les données. Notamment les certitudes, et parmi elles notamment les convictions inébranlables.

D’ailleurs, à vous lire (comme à lire pas mal d’autres ici), la France est composée de cons qui votent n’importe comment. Un coup le monstre Sarkozy, un autre le monstre Hollande. C’est sûr, à critiquer le PS comme vous avez critiqué la droite, à les assimiler, vous ne risquez pas grand-chose, Marine Lepen, Mélenchon en ont fait leur commerce, (cf : « l’UMPS »).

Olivier, vous avez raté le coche en 2012 : sauf votre respect, préparez un programme, rédigez-le, chantez-nous le, rassemblez vos troupes, et revenez vous présenter en 2017 avec une belle baguette magique et on en reparlera... Tout va bien, vous avec 4 ans et demi, y’a tout le temps.
Et « 4 mois passés, alors nous évaluerons ». Après 35 ans dans l’architecture et autant dans la musique, je devrais à coup sûr y arriver, non ?

Alors peut-être, grand sage, laisserez-vous une petite place au doute ?

En toute amitié,
EA

PS :
S’il vous plaît, ne serait-il pas possible, cher et averti rédacteur, de nous faciliter la lecture en supprimant cette foultitude de caractère gras, de retours à la ligne et de liens inutiles (on vous croit, ne vous inquiétez pas !), autant de hachoirs à cohérence et empêcheurs de recoudre un discours pour le moins déstructuré par ces zig-zags divers... Merci d’avance, au moins c’est la preuve que je vous lis, ce qui n’a pas l’air d’être le cas de la plupart de commentateurs, à voir la satellisation des commentaires.
Par contre-contre, je suis impressionné par vos patience et constance à y répondre...