• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Jean-Pierre Llabrés

sur Rachida Dati et la justice de son pays d'origine


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 3 octobre 2012 11:48

Interviewée, début janvier, par le magazine « Elle », Rachida Dati avait refusé de décliner l’identité du père « pour ne pas le gêner » et garder « une partie de [sa] vie intime ». Elle poursuivait ainsi : « Oui, j’ai un homme dans ma vie et je le préserve plus que tout... »

http://www.lepoint.fr/societe/exclusif-rachida-dati-designe-dominique-desseigne-comme-etant-le-pere-de-son-enfant-02-10-2012-1512374_23.php

Si Dati a dit « Oui, j’ai un homme dans ma vie », on peut supposer qu’elle l’aime et que c’est réciproque.
Si cet homme est bien Dominique Desseigne, supposément amoureux de Dati et supposément père de son enfant, pourquoi Dati en est-elle réduite à assigner Dominique Desseigne, le P-DG du groupe de casinos et hôtels Lucien Barrière, devant un tribunal civil hors de Paris pour « reconnaissance de paternité » ? Une information confirmée par Dominique Desseigne lui-même [...]

Si Dominique Desseigne est bien l’amoureux de Dati et le père de son enfant, pourquoi n’a-t-il (déjà) fait une simple reconnaissance de paternité ?...


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès