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Commentaire de Caroline Courson

sur L'Enfant Grec assassiné


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Caroline Courson Caroline Courson 24 octobre 2012 17:10

Mon but, Easy, n’est jamais d’être originale mais d’écrire et de partager ce qui me peine - et c’est plutôt très commun comme motivation.

J’ essaie (peut-être sans succès) de ne jamais m’ériger en juge, je me reconnais tous les défauts du monde, je suis loin d’être un ange (quelle horreur !), j’essaie juste de ne faire du mal à personne (sans y arriver évidemment).

Et bien sûr que tout le monde a en soi un Hitler qui sommeille, le tout étant de s’en apercevoir et de réagir à temps.

Je ne suis du côté de personne et encartée nulle part, la phrase dont j’ai le plus horreur étant
« il faut bien prendre parti » !

Effectivement, en choisissant un enfant comme symbole de la Grèce écrasée, j’ai eu la faiblesse de faire dans le pathos. Je m’en excuse auprès de ceux qui, comme vous, ont mal perçu cette facilité. Le sensationnel interpelle plus que l’ordinaire, je suis tombée dedans, c’est la faute à Dunant !

Je ne conclus pas avec un grand écrivain, mais simplement avec un chanteur populaire :

On saura jamais c’qu’on a vraiment dans nos ventres
Caché derrière nos apparences
L’âme d’un brave ou d’un complice ou d’un bourreau ?
Ou le pire ou plus beau ?
Serions-nous de ceux qui résistent ou bien les moutons d’un troupeau
S’il fallait plus que des mots ?

 Et qu’on nous épargne à toi et moi si possible très longtemps
D’avoir à choisir un camp

Ca ira ? (sans référence aucune smiley !)

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