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Commentaire de eau-du-robinet

sur Costa Rica : une démocratie en deuil


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eau-du-robinet eau-du-robinet 13 novembre 2012 19:41

début de citation
Chaque fois les manifestants ont le droit de se faire tabasser par la police, peu importe le lieu et les revendications. La répression et la violence rarement déployées au Costa Rica deviennent la règle depuis 2 ans.
fin de citation

Un des nombreux pays au monde avec une démocratie an façade ... seulement en façade !

Je doit avouer que je ne connait pas grand chose sur le Costa Rica à part sa situation géographique.

Je me suis donc posé la question sur son président et ses orientations notamment politiques et ce que j’ai constate c’est que les violences contre les manifestants depuis 2 ans correspondent exactement avec la nouvelle présidence !

La présidente du Costa Rica

Laura Chinchilla Miranda « sociale-démocrate » été devenue le 8 mai 2010 la première femme à être investie à la présidence au Costa Rica à l’âgée de 51 ans. Elle est la troisième femme d’Amérique centrale à accéder à une présidence, après Violeta Chamorro au Nicaragua et Mireya Moscoso au Panama.

Opposition à un État laïque

Laura Chinchilla s’oppose farouchement à toute modification de la Constitution du Costa Rica destinée à séparer l’Église de l’État au Costa Rica. D’après la Constitution de 1949 (article 75), la religion catholique, apostolique et romaine est celle de l’État. Sa position contraste avec celle de l’ancien président Arias, qui avait donné son appui à l’établissement d’un État laïque.

Elle s’oppose à la légalisation de la « pilule du lendemain » laquelle reste interdite au Costa Rica.

Laura Chinchilla a aussi exprimé son opposition à l’avortement, même dans les cas de viols, sauf si la santé de la femme est en péril.
 
Traitement de la question homosexuelle

Le 28 novembre 2009, Laura Chinchilla est la seule candidate d’un parti important du Costa Rica à participer et soutenir la « Marche pour la vie et la famille ». Organisée par une coalition des chefs d’églises, l’intention de la marche était d’exprimer l’opposition à la légalisation de l’avortement et des unions civiles pour les personnes du même sexe, ainsi que de leur mariage. Sa participation a soulevé de l’inquiétude chez plusieurs activistes des droits de la personne


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