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Commentaire de Albert Ricchi

sur Restauration des comptes publics et justice sociale : les sept refus capitaux de François Hollande…


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Albert Ricchi Albert Ricchi 27 janvier 2013 16:38

@ bigglop

Merci pour votre commentaire mais Il semble que vous vous mépreniez sur mes propos qui n’ont jamais été de défendre la situation interne des USA, du Royaume-Uni ou du Japon et leur monétisation de la dette, ni d’expliquer l’origine de la crise financière que vous abordez largement dans votre commentaire.

C’est de dire avant tout que s’il avait eu une monétisation des dettes de la France auprès de la banque de France puis de la BCE, le déficit de la France serait nettement moindre et nous n’emprunterions pas aujourd’hui sur les marchés financiers (ni les autres pays européens d’ailleurs) . C’est parce que l’Europe est dirigé par des banquiers que nous sommes dans une telle situation.

L’essentiel est aujourd’hui en fait passé sous silence : le traité de Maastricht et la définition qu’il donne des missions de la banque centrale Européenne. De nombreux économistes (P. Artus, J. Pisani-Ferry, H. Rey) ont souligné que pour mettre un coup d’arrêt à la crise de la dette, il faudrait que la BCE annonce un taux d’intérêt plafond sur les dettes publiques et son intention de racheter sans limitation les titres de dette si ce taux est dépassé sur le marché. J.C. Trichet, puis M. Draghi se sont refusés jusqu’ici à une telle politique en invoquant la lettre des Traités et le statut de la BCE…

Cordialement

Albert


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