Face à un problème complexe, on dégrossit le nœud des difficultés par élimination. Ce qui est le plus facile à éliminer c’est ce qui ne sert à rien en premier lieu, et qui coûterait le moins cher à dégrossir.
1- Les premiers postes de dépenses avant notre grille pain, c’est d’abord les gros profiteurs des Lobbys d’ énergies nucléaire, pétroliers et EnR. Avec un bon coup de balai de côté là, on y verrait plus claire, sans cette gangrène des profiteurs à grosses carrières, pour ne pas citer leur grosses bagnoles qui ne tournent pas à l’eau fraiche.
2- La centralisation de l’énergie, obsolète pour ces raisons de pertes en lignes, qui nous fait perdre une grosse part de l’énergie produite, pourrait être partiellement remplacée par une production individuelle, jusqu’à un fort pourcentage. Le photovoltaïque aujourd’hui racheté par EDF sur les toitures des
maisons, devrait servir à l’autoconsommation, au lieu d’être financé par
les plus mal lotis.
Nous avons là déjà, des raisons d’entrevoir un soulagement énorme de certains coûts. ÉNORME.
3- Je suis le premier à accepter de contribuer au coût des crédit d’impôt toujours supportés par le contribuable, s’il permet d’encourager l’équipement en énergies vertes, et créer de l’emploi. (500.000 en 2 ans possible, dit-on)
Jusque là, on diminue la dépendance au nucléaire qui reste une énergie dangereuse et encore plus coûteuse sur le long terme, (en catastrophe et en traitement des déchets nuc), puis on a éliminé une partie des surcoûts d’enrichissements abusifs et techniques.
4- Avec des milliards économisés, on pourrait se recentrer sur la recherche en cogénération, en meilleur stockage d’énergie, en développement de l’énergie libre. En terme de recherche nucléaire on pourrait abandonner ce type de nucléaire volontairement maintenu par son lobby, alors qu’il existerait une technologie nucléaire non dangereuse, bien plus performante et sans déchet, soigneusement étouffée depuis la mort de Kennedy.
5- On aura fait fondre une grosse partie de l’iceberg. Resteront les déchets nuc à traiter avec efficacité, avant de léguer ça à nos enfants, qui, si on ne se réveille pas, le verront pourrir leur vie.