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Commentaire de soi même

sur Enfumés par le saumon


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soi même 21 février 2013 12:11

Merci Olivier, il y a de quoi coupé l’appétit, tant qu’il y aura pas de réflexion sérieux sur la chaîne alimentaire des espèces animales.
 il est a prévoir que nous cressons notre propre tombe.
C’est bien le résultat d’une vision purement économiste qui est à la racine de tous ses maux.
On voit bien dans c’est exemple évoqué comment un point de vue de rentabilité excessive nous à fais perdre le sens que dans la nature tous chose à sa raison d’être.
Et que nous avons perdue ne sera pas facilement retrouvé, la générosité de l’exubérance vitalité de la nature à s’auto-générer par la prolifération des espèces végétal et animal.

Il y a un exemple de ce qui se passe en Chine devrait alerté nos responsables, les chinois sont réduit maintenant à pollinisé les arbres fruitier à manuellement du fait que les abeilles ont totalement disparue de leurs environnements, suite à des épandages massifs d’insecticides qui résultait qui avaient éradiquer tous les oiseaux de leurs campagnes qui à générer une prolifération massive d’inceste nuisible.

C’est la même chose qui est en trait de se passé avec les élevages de pisciculture, ils se retrouvent .dans une impasse avec l’alimentation des poissons carnivores.
Jusqu’à présent leurs granulés venaient pour l’existentielle des espèces pêches non commercialisable et des banc d’anchois pêches aux larges des cotes du Chili.
Et comme c’est la rentabilité excessive de l’économie qui priment actuellement, il est fort à parier que dans un avenir proche que cette source va se tarir, et c’est sans doute le pourquoi qu’il y a une exploration d’autre solution hasardeuse pour nourri toutes la chaîne industrielle de la pisciculture d’élevage intensif qui est en trains de remplacer le poisson sauvage sur nos étals des poissonnier.

Il est évident que s’y arrivons à ses extrémités et ses absurdités, c’est que nous avons pas pris en compte l’importance du rôle ce que nous définitions comme indésirables, espèces nuisible, leurs véritablement rôles régulateurs dans la nature. Et nous avons crues qu’avec des moyens modernes éradiqués ce qui empêchaient d’avoir des productions quantitatives.

Nous arrivions aux ternes de cette logique, et nous retrouvons confronter à des choix qui vont êtres de plus en plus évidents, il faudra changer notre manière de se nourrir, et individuellement nous rentrons en résistance, en évitent d’acheté des produits alimentaires douteux, et l’autre action est d’éviter si cela est possible les restaurants de collectivités qui écoulent en masses toutes ses produits .

Le choix n’est pas facile, surtout qui est lier aux moyens des personnes qui ne peuvent pas tous acheter des articles qui ont les certifications Bios.

A défaut de cela, il faudrait sans doutes privilégier des produits simples qui ont encore une tradition artisanal de fabrication, c’est un vaste débat qui ne pourra se régler si nous avons la volonté de prendre conscience que nos choix alimentaires deviens un acte thérapeutique dans le fait que nous préservons notre santé et que l’on redeviens maître de l’offre et de la demande.

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