Le thème de l’apocalypse est décidément très à la mode. Tant mieux.
Je vais juste copier-coller mon commentaire d’un autre billet qui évoquait aussi une fin du monde :
... on observe des « cycles » dans l’histoire, qui rejouent des scénarios identiques sur le fond, la forme
étant adaptée aux coutumes du moment.
Ainsi, tout Empire, après sa phase de croissance et de gloire, décline, puis « disparait sans disparaitre », car il marque du saut de son apothéose l’avenir de l’empire qui lui succède.
Ce
que je veux dire, c’est que la fin d’un Empire est une destination
aussi prévisible que l’ultime finalité de tout être vivant ici bas : dès
la naissance, la mort est à l’œuvre, mais il nous est impensable de
l’imaginer avant que cette échéance ne soit proche.
L’heure de la fin
de nos civilisations actuelles (car il faut bien en parler au pluriel) serait-elle
donc proche ?
L’auteur voit juste dans son analyse : l’Empire (capitaliste) dans lequel nous vivons aujourd’hui est moribond. En phase terminale. En soins palliatifs. Quelques charognards tentent encore d’en dépecer la carcasse ici ou là. L’agonie touche à sa fin. 5 ans ? 10 ans ? Peut-être plus, encore qu’à l’ère de la communication instantanée sous perfusion 3G, ça peut aller très vite.
Quel sera l’avenir de l’Empire qui lui succèdera ? Ce n’est pas moi — incroyant confirmé — qui le dit, mais une rumeur venue des opprimés par l’Empire qui se meurt : Dieu seul le sait... La rumeur est lancée par les prophètes autoproclamés qui endoctrinent les peuples... car contrairement à ce qu’a dit Nietzsche, les Dieux ne sont pas tous morts, malheureusement.