@ Guillaume Boucard
La
meilleure phrase de votre article est la toute dernière, et c’est en effet
« de l’intérieur de l’Eglise » que les murs qui doivent tomber pourront
être - en tous cas être sainement - abattus. Encore faudrait-il pour cela que
les chrétiens, et tout particulièrement les catholiques sortent, eux, du déni
dans lequel ils se sont plus que jamais enfermés durant notre génération,
laquelle voit plus que jamais les effets dramatiques de cet enfermement.
Vous
avez oublié de mentionner, tout simplement, le mur le plus ancien, le plus
constamment renforcé par les théologiens catholiques, et tout particulièrement
par le précédent pape : celui que constitue la théologie criminogène.
C’est
la nécessaire destruction de ce terrible mur que j’ai tenté de rappeler dans ce
récent article (même si le mot « supprimer » dans son titre était mal
choisi, ce dont je ne me suis rendu compte qu’après la publication : on ne peut
décider de supprimer une croyance et ce que l’Eglise doit faire très vite c’est
la rejeter, cesser de la
justifier et de la transmettre à ses
futurs adeptes) :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-nouveau-pape-devra-supprimer-la-130677
Sans
le ferme rejet, par les catholiques et leur église, de la croyance en une "bonne violence voulue
par Dieu« , fut-elle ancienne, le XXIe siècle sera, hélas, »religieusement
correct" :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-vingt-et-unieme-siecle-sera-113119