Hélas, Monsieur, les images sont un moyen fort commode pour impressionner... les plus crédules !

On se souviendra pour exemple de celles criardes de charniers découverts lors d’un conflit... et dont les films n’avaient pas été pris ni à l’endroit désigné, ni à l’époque suggérée. Fâcheux pour des journalistes professionnels !

Ce qui me paraît plus sérieux, au niveau global, est que les réserves d’énergies sont en train de diminuer et que notre mode de vie, lui, ne change pas, au contraire, bien plus de personnes l’adoptent, consommant toujours plus et augmentent ainsi les déficits entre l’offre et la demande.

Ceci ne peut déboucher que sur des conflits... déjà, une soixantaine de guerres sont programmées... je le crois sans peine ! Quant au caractère psy ou autre de ceux que l’on désigne inmanquablement comme tels, permettez-moi d’être septique. Je connais fort bien pareille technique toujours utilisée pour désigner les boucs-émissaires. que dire alors de ceux qui occupent 130 Pays sur les quelques 180 de part le monde... ? Faut-il s’étonner d’y trouver chaque année plus de 10.000 meurtres par arme à feu ? alors que juste à côté, on n’en dénombre qu’une centaine ? et qu’en Suisse, alors que tout homme ayant effectué son service militaire, doit conserver chez lui, son arme de guerre et 5 cartouches... ne générant pas de statistique sur le sujet ? Libre à vous d’estimer fondés les canulards qu’on nous propose !

Notre société pratiquement dans son entièreté a entamé un processus économique Friedmannien, il ne faut donc pas s’étonner si nos relations socio-économiques suivent le même chemin que le Chili sous la houlette d’un certain Pinnochet.

On ne peut que constater la vague de « libéralisation », par exemple en Grèce, et comprendre ce qui arrive à notre bonne vieille Europe... à notre monde !

Je vous engager à vous poser la question « Qui bono » ?

Bien à vous