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Commentaire de Hervé Hum

sur M. Bayrou et le référendum sur la moralisation de la vie politique


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Hervé Hum Hervé Hum 9 avril 2013 16:59

Il il y a d’autres développement d’analyse du vote blanc pour comprendre les problèmes qu’il pose. Si je me décide, j’en ferai un article. Cela dit, sur wikipédia les exemples donnés avec d’autres pays en donne une idée.

Mais la question de savoir si le vote blanc est l’expression d’un vote ne se pose pas.Si vous voulez accomplir votre devoir électoral sans exprimer de vote, vous vous contentez de mettre une enveloppe sans bulletin, mais sûrement pas un bulletin blanc.

Mais pour moi quels que soit le nombre de blanc cela ne peut amener à revoter car cela n’aurait aucun avantage pour les électeurs et pour l’intérêt général.

C’est là qu’est le noeud du problème. Le vote blanc oblige à repenser la manière de faire de la politique, chose que les politiciens ne veulent à aucun prix. D’où leur stratégie de noyer sans cesse la question du vote blanc, de le vider de son expression. Tous les partis sont d’accord sur ce point car les leaders politiques voient très bien qu’à terme, la reconnaissance du vote blanc conduirait à leur perte.

C’est pourquoi les politiciens hésitent tant à décompter le vote blanc à part, car c’est le risque d’ouvrir une boite de pandore en ouvrant un projecteur sur l’expression du vote blanc, qui ne serait plus associé au vote nul au sens de nullité pour vice de procédure, ni à l’abstention.

Il faudrait reconnaître qu’un citoyen à le droit de rejeter tous les candidats et qu’il faut le compter à part entière. Bref, pour un politicien c’est une épée de Damoclès sur la tête et la question qui vient de suite, qu’est ce qu’on fait alors ?

On fait le RIC !


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