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Commentaire de Gelezinis Vilkas

sur Fête de l'Europe : devoir d'espoir


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Gelezinis Vilkas Gelezinis Vilkas 10 mai 2013 14:07

Cher Hunter,

Que d’insultes inutiles dans votre propos. Quand on parle de « patrie européenne », ça veut dire qu’on n’est pas un apatride, ni un cosmopolite. Ca veut dire qu’on considère que le pays de ses pères, c’est l’Europe. Et c’est une évidence. Vos « nations » n’ont objectivement que deux siècles d’existence... même si un processus d’unification plus ancien était souvent à l’oeuvre.

Qui est patriote ? Celui qui veut l’Europe aux Européens !
Qui est anti-patriote ? Celui qui veut d’une France souveraine ouverte aux flux migratoires du monde entier.

Quant à la nationalité française, donnée à n’importe qui, elle n’a en effet plus aucune valeur. Il faut donc oser la supprimer purement et simplement pour la remplacer par une nationalité européenne qui, elle, sera réservée aux seuls ayant droits naturels.

Quant à la langue de l’Europe, c’est fondamentalement la langue-mère parlée par nos ancêtres il y a 7000 ans au moins, langue qui a engendré 99% des langues européennes modernes, le « proto-indo-européen ». Avant le latin, avant le grec. Avant le français, l’anglais et l’allemand.


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