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Commentaire de simir

sur Quand les « Gauchistes » passent au Front National…


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simir simir 13 mai 2013 21:06

« L’humain d’abord ne signifie rien bla bla bla bla » .... diarrhée verbale incompréhensible

En effet les 300 000 exemplaires vendus + les téléchargements, c’est un beau succès qui fait erructer tous les baduf, je les imagine, suant et bavant derrière leur clavier.

Ce n’est pas l’internationalisme qui sert les interêts de la ploutocratie mais le cosmopolitisme capitaliste qui est le complémentaire du nationalisme réactionnaire du f haine
Eh oui M cinokiou (c’est pas français comme nom ça Marine ne va pas être contente) la nation , l’internationalisation ne peuvent être definies que selon le contenu de classe et de la dialectique nation/ international.

« L’internationalisme de la classe ouvrière, c’est la fraternité des peuples face à leurs ennemis. Il inclut la défense de la nation, parce que la liberté réelle de l’humanité est solidaire de la liberté de chaque peuple » Georges Politzer philosophe membre de PCF fusillé en 1942 au Mont Valérien par les ancêtres de ceux avec qui la blondasse va valser à Vienne.
On est bien loin ici des déterminismes et des soit-disant logiques.

Quant à votre infamie sur G Marchais et l’immigration assez avec ce bobard d’extrême droite.

C’était dans les dernières années du giscardisme pourrissant. Les 
travailleurs immigrés sont accueillis, 
généralement sans leurs familles, dans 
de sinistres conditions, concentrés contre leur 
volonté dans les mêmes communes, 
en banlieue parisienne, majoritairement communistes. Grâce aux militants du PCF, des mobilisations ont lieu pour apporter des réponses concrètes afin qu’on détruise les bidonvilles et que chacun soit logé dans des conditions dignes.

C’est dans ce contexte que, à la veille 
de Noël 1980, le maire giscardien de Saint-Maur fait détruire un foyer d’immigrés et les refoule tous vers Vitry dont la municipalité est communiste. Désemparés, ces travailleurs se concentrent dans un foyer totalement vétuste qui devait être rénové. Le drame humain est à son comble, aucune condition de sécurité n’est respectée. Le gouvernement giscardien se lave les mains du problème. Pour éviter l’accident et refuser le coup de force du maire de Saint-Maur, le maire de Vitry décide de faire détruire ce foyer 
insalubre. Cette décision est une lourde erreur politique, qui va fort légitimement choquer beaucoup de gens. Mais elle n’est pas un geste raciste dirigé contre les immigrés. C’est un coup de colère contre les maires de droite qui chassent tous les travailleurs immigrés pour les concentrer aux mêmes endroits dans les pires conditions.

C’est de cela dont parle Georges Marchais dans sa lettre : « La cote d’alerte est atteinte : il n’est plus possible de trouver des solutions suffisantes si on ne met pas fin à la situation intolérable que la politique raciste du patronat et du gouvernement a créée. C’est pourquoi nous exigeons une répartition équitable des travailleurs immigrés entre toutes les communes.  » Le FN manipule cette phrase en laissant croire que l’expression 
de «  cote d’alerte  » est à propos de l’immigration. C’est faux. Avec clarté, Marchais pré-cise : « Ce qui n’a rien à voir, avec la notion non scientifique et raciste d’un prétendu “seuil de tolérance” dont nous ne parlons jamais.  » Aujourd’hui, on dirait qu’il exige une réelle «  mixité sociale  ».

 Pourtant Georges Marchais a une exigence sur laquelle le PCF reviendra très vite : « Il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage (…). Je précise bien : il faut stopper l’immigration officielle et clandestine.  » Comme le PCF aujourd’hui, je suis en désaccord avec cette phrase. 

Il est abject de comparer ses propos avec ceux actuels du FN. Car, aussitôt après, il écrit avec fermeté :«  Mais non chasser par la force les travailleurs immigrés déjà présents en France (…). Nous disons également : il faut donner aux travailleurs immigrés les mêmes droits sociaux qu’à leurs camarades français.  » Le propos est donc clair, rien à voir avec Marine Le Pen. «  Nous pensons que tous les travailleurs sont frères, indépendamment du pays où ils sont nés, de la couleur de leur peau, des croyances, de la culture, des valeurs ou des coutumes auxquelles ils sont attachés  », ajoute-t-il. Il conclut, fidèle au combat que le PCF a toujours mené : « C’est pourquoi dans les entreprises et les cités, nous invitons les travailleurs immigrés et français non pas à se combattre entre eux, mais à unir leurs forces contre les vrais 
ennemis commun, les exploiteurs et ceux qui les servent.  »

Mais c’est tellement facile comme le fait Ocinikou de noyer le poisson dans sa logorrhée parsemée d’insultes et sans aucune preuve. 
Maintenant chacun pourra juger si ce qu’adit Marchais pourrait convenir au fhaine
Mais au fait M Onicinikou Marhais quand il disait « le bilan globalement positif » était il toujours pour vous un authentique défenseur des travailleurs ?

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