Commentaire de bakerstreet
sur Hannah Arendt : la banalité du mal
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En tout point d’accord avec vous, Gab.
La sortie publicitaire d’un film mensonger, racontant avec pathos et manipulation une erreur de jugement, sans toutefois remettre celle ci à l’heure, et pire en l’aggravant, est bien dans l’art du storytelling américain.
Quand on cherche à vous prendre aux tripes, déconectez vos tripes, et servez vous de votre sens critiques, des sources documentaires, et de votre intelligence.
Derniers commentaires
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20/05 21:01 - Hermes
Quelle tristesse ! Je vous souhaite mieux que cette démission, chaque homme possède un infini (...)
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20/05 19:35 - modesto
@ariane walter : les monstres sont peut-être pragmatiques, mais les dogmatiques sont sûrement (...)
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20/05 17:29 - gotjy
Bonjour ma chère Ariane,vous atteignez les sommets par la pertinence de vos articles,vôtre (...)
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20/05 13:58 - modesto
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20/05 13:38 - gordon71
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20/05 13:31 - Gaspard Delanuit
D’accord, mais pourquoi tant d’espaces inutiles entre vos paragraphes ? (...)
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