Personne, non plus, ne semblant répondre a votre article, je me permets de le faire.
Succulent, a la manière d’un conte de Voltaire.Je parle de votre texte.
Je précise pour ceux qui auraient oublié. que chez Voltaire, c’est toujours un innocent, un qui sort de sa brousse, qui fait percevoir par son ingénuité, les tares du monde.
La Winfrey, nous les cassent.
A elle seule, la quintessence du boboïsme le plus dru et de la connerie antiraciste la plus affirmée.En effet, comme beaucoup de personnes dites« De couleurs » Dès qu’on dit quelque chose et que l’on est blanc, on est forcément raciste.
Forcément, a force( redondance) ça fatigue !