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Commentaire de bakerstreet

sur Mise au point sur le « rêve » ou le « cauchemar » américain


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bakerstreet bakerstreet 6 septembre 2013 15:37

Jean Pelletier


D’accord avec vous, mais le propos n’est pas de s’enoxerer de notre part d’ombre.
A vrai dire, je ne connais guère de pays en ce monde qui n’est pas la sienne !

Reste que les possibiltés de la france, en terme de prédation, sont restés limités à ces moyens, et à son influence, tout de même plus modeste que celles des états unis.

Je parle de notre époque, car à l’époque des lumières, notre pays était un des plus puissants au monde, si l’on s’éxonérait il est vrai des empires du levant, aussi lointains à l’époque que la planète mars. Néanmoins, nous n’avons pas à rougir de toute notre histoire, et de nous enfouir la terre dans le sol. 

Ce n’est pas pour autant que nous devons nous focaliser sur les lumières, en oubliant des épisodes dramatiques, comme les chouans, dont on ne peut néamnmoins comprendre la dynamique, qu’en se remettant dans les termes de l’histoire de l’époque, et celle d’une république menancée aux frontières

A l’influence négative d’un pays, qui fait qu’en 4 ans, l’un deux peut facilement saborder tout l’image d’une culture brillante, comme ça c’est fait pour l’allemange, dont il ne faudrait pas oublier la leçon, il ne faut pas oublier non plus ce que chacun apporte à la contribution commune, avant de décliner. 

L’hsitoire du monde est là pour nous rappeler de nous la jouer modeste, et d’éviter les postions avantageuses de matador. Influences réciproques, réciprocités, l’histoire se conjugue en échange, sinon elle devient un marais nauséabond, tout comme une rivière qui se perd.

Les empires se sont faits ,et se sont défaits.....Les grecs, les romains, les chinois, les persans, les egyptiens quand l’occident n’en était encore qu’aux troglodytes....A remarquer que la durée moyenne d’un empire se réduit de plus en plus, et qu’aucun ne peut briller aussi longtemps en influence que les égyptiens et les romains l’ont fait. 

Les retours de flamme sont de plus en plus rapides, c’’est la leçon de la mondialisation, et d’un monde devenu de plus en plus complexe et ingérable, compte tenu des enjeux de grandeur et de puissance des uns, devenus incompatibles avec la survie des espèces, la notre comprise. 
C’est pour ça que ces histoires de fontières deviennent de plus en plus celles d’un monde qui disparait, et pourtant auquelles certains se cramponnent, érrigeant desmurs, comme on le faisait aux moyen age. 
Mais l’ennemi à venir n’a pas de visage, mais son souffle risque bien de les emporter si nous ne sommes pas capables de nous adapter aux nouveaux enjeux, que ce soit en amérique ou en france. Et de dépaser les clivages stupides, les situations de confort et de rentabilité.

Voilà que je mets à parler des trompettes de l’apocalypse !

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