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Commentaire de Philippe VERGNES

sur Pervers narcissique : mythe ou réalité ? Point de vue critique (partie 1/2)


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Philippe VERGNES 19 novembre 2013 22:35

« Une question qui a sa réponse dans la question, c’est de la merde. »

Surtout lorsque l’on se montre incapable d’y répondre. Par ailleurs, cette simple question que vous contournez par tous les moyens possibles et imaginables n’est pas aussi anodines qu’il y paraît puisque les violences psychologiques n’ont été reconnues comme violence par le code pénal que depuis une récente loi votée en juillet 2010. Et il y existe encore une majorité de personnes qui considère les violences psychologiques comment n’étant pas des violences, même chez vos amis psychanalystes.

Donc, quelqu’un qui est incapable de prendre position vis-à-vis d’une question aussi simple est soit favorable à la violence psychologique, soit un manipulateur en puissance (ce qui au final revient au même puisqu’un manipulateur use de violence psychologique pour assoir sa suprématie sur autrui).

« J’ai essayé de vous le faire comprendre en prenant l’exemple : « le cheval blanc d’Henri IV est-il blanc ? » Mais apparemment, vos neurones « ouverts au monde », ne sont que peu performants. »

Bah alors... la violence psychologique est-elle oui ou non une violence à vos yeux ?

C’est pourtant pas si compliqué de prendre position et d’affirmer ses convictions non ???

« Toujours aussi fin dans vos analyses ? »

Merci du compliment, je n’en attendais pas autant de votre part.

« Je vous ai demandé « où commence la violence » ? »

Bhein je vous ai déjà répondu, si vous ne faisiez pas que vous écoutez parler, vous auriez déjà noté ma réponse (Philippe VERGNES 17/11 15:35) : « Et je prend même position en donnant une réponse partielle sans pour l’heure m’attaquer à la notion de subjectivité qui se rattache à la perception de la violence : la violence psychologique est une violence qui prélude à tout autre type de violences (verbales, physiques et/ou létales, etc.) et dont la portée est grandement sous-estimée, pour ne pas dire niée, dans notre société. Pire encore, comme j’ai déjà pu l’exposer ici dans la plupart de mes articles, la violence psychologique, insidieuse et méconnue, intoxique toute la société à des niveaux que très peu de gens sont capables de percevoir. Intoxication qui agit à l’exact identique de la LTI (Lingua Tertii Emperii : La Langue du IIIe Reich, de Victor KEMPLERER). »

Dois-je en déduire que qu’en ne répondant pas ce que vous avez envie d’entendre, je me montre violent envers vous ?

Je dis ça, je dis rien, car vue le nombre de fois que je dois me répéter avec vous...

Noter qu’une fois de plus je réponds à vos questions alors que de votre côté, vous vous débinez toujours par tous les moyens possibles et imaginables comme le ferais tout bon manipulateur qui se respecte.

« Si je ne vous dis pas ce que vous avez envie d’entendre, est-ce une violence psychologique ? »

Absolument pas, mais par contre, compte tenu de ce qui précède, il faut croire qu’en ne disant pas ce que vous vous avez envie d’entendre, je vous fais violence.

« Commencez par comprendre vos propres mots, donnez des définitions claires, posez des questions intelligentes, ensuite on débat. »

Il est certain que quelqu’un qui déforme la définition du mot simplisme que lui-même fournit, qui confond le danger avec la peur, qui ne réponds jamais aux questions qu’on lui pose, qui interprète de travers les propos qu’on lui tient, qui « mythone » des citations d’auteurs, etc., etc., etc., est bien placer pour comprendre ses propres mots, poser des questions intelligentes et mener un débat.

Alors finalement : la violence psychologique est-elle oui ou non une violence à vos yeux ?

C’est trop compliqué pour vous de répondre à cette question ???

Prendre position en affirmant clairement ses convictions vous fait si peur que ça ???


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