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Commentaire de Mike@VDN

sur Vivre et penser comme des porcs en voyage : tourisme de masse et mémoire piétinée


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Mike@VDN Mike@VDN 6 février 2014 16:02

A un tel niveau d’argumentaire, il n’y a pas grand chose à répondre.

On pourrait dire aussi : « l’humain est raciste », « l’humain est violent », etc. Faut-il cautionner pour autant la parole et les actes racistes ou les violences interpersonnelles ? Le simple fait que quelque chose existe ne suffit pas à le rendre juste et défendable... Civiliser revient à corriger des excès auxquels l’humain laisse cours au nom de la nature. Sinon, je vous renvoie à Sade, qui défend le bon droit de chacun à violer et tuer son voisin. Car, après tout, « l’humain est violent », etc.

Par ailleurs, une chose vous échappe peut-être, mais si la saleté d’il y a deux siècles en Europe et partout ailleurs, était majoritairement organique (de la merde aux déchets de cuisine, en passant par les déchets végétaux), ce n’est plus le cas. Or, entre la dégradation de feuilles, de fruits pourris ou de la merde humaine, et celle de sacs et bouteilles en plastique jetés partout, de piles électriques, de produits ménagers, vous n’êtes pas sans ignorer que certains déchets causent des dégâts majeurs sur l’environnement et, au bout de la chaîne de causes et de conséquences, sur ce dont la vie humaine ne peut faire sécession : l’équilibre environnemental.

Donc, donnez continuez à vous penser le plus malin si vous le voulez. Moi je vis au Guatémala, et les dégâts environnementaux je les vois chaque jour.


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