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Commentaire de epicure

sur Ne jamais se mettre en deuil d'une espérance


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epicure 17 février 2014 18:48

Non ce n’est pas un peu léger quand on a un peu de réflexion, et qu’on ne raisonne pas uniquement qu’avec des schémas préconçus, comme avec les idéologies particularistes ou autoritaires.
En fait il est facile d’écrire un programme politique basé sur la liberté, l’égalité et al fraternité, théorique certe, mais très possible.
Tiens par exemple au niveau religion cela correspondrait à quelque chose qui ressemble à la laïcité, une laïcité sans concession avec tous les cléricalismes.
Au niveau pouvoir politique, idéalement c’est la démocratie directe, ou au pire des élus sous contrôle des électeurs (notamment le mandat impératif), avec des principes généraux cadrant les lois et actions politiques, mais surtout pas un régime dirigé par un chef.
Au niveau économique, c’est le pouvoir collectif comme pour la démocratie, mais appliqué à l’entreprise, un système coopératif en somme. Et surtout pas le pouvoir arbitraire et égoïstes des actionnaires.
Au niveau sexe c’est légalement la liberté sexuelle,entre personne consentantes avec pour conséquence de cette liberté la punition du viol et de la pédophilie. (si tu as du mal à comprendre ceci revoit les définitions de la liberté), et bien sûr l’égalité légale et morale entre les hommes et les femmes.

etc......

Mais le problème de la plupart des politiciens français c’est que c’est uniquement une formule, une devise vide de sens car les idées qu’ils défendent ou appliquent sont loin de ces valeurs, surtout à droite.

Ce n’est pas tant Blum qui a échoué que les rad-soc libéraux au niveau économique qui ont mis fin au front populaire.
Quand Mitterrand il ’a jamais été vraiment de gauche, même si ses premières années ont été marquées par des réformes de gauche conséquence du programme commun qui lui était de gauche.
Quand à hollande dés sa première année il a prouvé qu’il était loin d’être de gauche et que sur les sujets importants il avait plus de points communs avec sarko qu’il ne le prétendait avant la campagne.

Le problème du PS c’est que c’est devenu un parti d’élus, de carriéristes, qui en fait n’ont pas grand chose à faire des idées politiques qu’ils sont sensés défendre.


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