Dommage,
il aurait peut-être gouverné comme il écrit et cela aurait pu être un fabuleux
voyage pour l’Algérie. Dur pour les rêveurs, les justes et les poètes de s’imposer
dans ce terrible monde. Qu’il continue de noircir les pages blanches avec l’élégance
qu’on lui connait car la puissance des mots quand ils touchent les cœurs n’est
jamais vaine.