Pinhas, comme Fripp ou Eno, produit des albums intéressant, inspirant, mais qui finissent sur l’étagère après une ou deux écoutes... Le genre d’album qu’on achète pour soutenir l’artiste ou pour glaner quelques samples (échantillons) à replacer ailleurs. Mais ça fait plaisir de suivre ces têtes chercheuses, c’est si rare.